La danse, était tout pour elle car elle
Ne pouvait vivre sans les vibrations de son
Corps…du temps de sa grâce où l’art
Etait à ses rendez-vous, elle dansait
Devant le miroir du temps, parce qu’elle voyait sa
Sensualité se dévoiler au grand jour
Et son caractère se forger au fil du temps,
Elle dansait à contre temps mais elle dansait toujours,
De larmes ou de rires,
A se faire oublier l’amertume de "l’injuste"
Et les injures de son voisinage flibuste !
Elle dansait par ces temps d’orage
A faire oublier ces belles rides et le poids
De son âge, elle ne se souciait de rien, même
Si elle trébuchait, un jour, à perdre la cadence !
Elle ne pensait qu’à la chance de
Retrouver le salut et la merci de son for.
Encor elle dansait, sans même une note
De musique, une note épidémique
Qui pourrait lui faire perdre l’âme pudique.
Elle le faisait seulement pour
Revoir ces flammes dans cette lumière
Si sombre et la silhouette de sa jolie ombre de femme.
Un beau matin d’avril la danseuse de mon étage, a
Brusquement arrêter les pirouettes de ses hanches
Et le fracas de ses pas !
Plongeant ma chambre dans un triste
Silence…absence des ces pas qui bougent
Absence de cet air de fête qui régnait jadis
Sur moi, comme si je dépendait de
Son existence…la danseuse ne
Faisait pas que ça au fait, elle composait ses
Propres odes et ses propres proses à faire séduire
Tout un monde et à faire pleurer des amoureux
Rien que par la magie de ses doigts,
Elle s’est arrêtait au moment où
Je ne m’y attendais pas, un adieu si dur !
Même si je ne la connaissais pas…
Ruminais-je, pauvre de moi, qu’elle avait
Son art perdu …suis-je allé frapper à sa porte,
Mais rien que des échos du vide qui raisonnent.
Qu’importe, pensais-je si elle m’abandonne, je voulais
Seulement qu’elle danse…et combien je veux qu’elle
Recommence même si divergent aussi sont nos chemins !
Je me sens coupable de l’avoir perdu à jamais
Jamais je n’ai osé faire un pas qui puisse amorcer une
Possible amitié…Elle avait un cœur de ces femmes
Etonnante mais cruelle cependant !
Samir
Ne pouvait vivre sans les vibrations de son
Corps…du temps de sa grâce où l’art
Etait à ses rendez-vous, elle dansait
Devant le miroir du temps, parce qu’elle voyait sa
Sensualité se dévoiler au grand jour
Et son caractère se forger au fil du temps,
Elle dansait à contre temps mais elle dansait toujours,
De larmes ou de rires,
A se faire oublier l’amertume de "l’injuste"
Et les injures de son voisinage flibuste !
Elle dansait par ces temps d’orage
A faire oublier ces belles rides et le poids
De son âge, elle ne se souciait de rien, même
Si elle trébuchait, un jour, à perdre la cadence !
Elle ne pensait qu’à la chance de
Retrouver le salut et la merci de son for.
Encor elle dansait, sans même une note
De musique, une note épidémique
Qui pourrait lui faire perdre l’âme pudique.
Elle le faisait seulement pour
Revoir ces flammes dans cette lumière
Si sombre et la silhouette de sa jolie ombre de femme.
Un beau matin d’avril la danseuse de mon étage, a
Brusquement arrêter les pirouettes de ses hanches
Et le fracas de ses pas !
Plongeant ma chambre dans un triste
Silence…absence des ces pas qui bougent
Absence de cet air de fête qui régnait jadis
Sur moi, comme si je dépendait de
Son existence…la danseuse ne
Faisait pas que ça au fait, elle composait ses
Propres odes et ses propres proses à faire séduire
Tout un monde et à faire pleurer des amoureux
Rien que par la magie de ses doigts,
Elle s’est arrêtait au moment où
Je ne m’y attendais pas, un adieu si dur !
Même si je ne la connaissais pas…
Ruminais-je, pauvre de moi, qu’elle avait
Son art perdu …suis-je allé frapper à sa porte,
Mais rien que des échos du vide qui raisonnent.
Qu’importe, pensais-je si elle m’abandonne, je voulais
Seulement qu’elle danse…et combien je veux qu’elle
Recommence même si divergent aussi sont nos chemins !
Je me sens coupable de l’avoir perdu à jamais
Jamais je n’ai osé faire un pas qui puisse amorcer une
Possible amitié…Elle avait un cœur de ces femmes
Etonnante mais cruelle cependant !
Samir