L’espoir était omniprésent, je le ressentais tout autour de moi
Insouciant, innocent, je profitais de mes tout juste vingt ans
Comment pouvoir, imaginer quitter ce pays qui s’offrait a moi
Crédule, confiant j’avais cru à leurs rêves de changement
Leurs discours avaient su mettre fin à mes désirs d’occident
Dite à ma mère qu’elle doit sécher ses larmes
En ce lieu la sérénité parait de rigueur
En ce lieu enfin je puis demeurer apaisé
Dite à mon père de ne pas déposer les armes
En souvenir de son fils qu’il a tant aimé
Un coup de tonnerre interrompit brusquement ma rêverie
Du moins tel fut ma pensée, la dernière de mes pensées
Ils avaient osés, osé l’utilisé, lui le gamin du quartier
En m’élevant je vis mon corps sans vie, déchiqueté, explosé
Et l’hydre se repaître de ce spectacle de damnée
Dite à ma mère qu’elle doit sécher ses larmes
En ce lieu la sérénité parait de rigueur
En ce lieu enfin je puis demeurer apaisé
Dite à mon père de ne pas déposer les armes
En souvenir de son fils qu’il a tant aimé
On nous avait promis que le salut était a porté de main
Que notre nation allait enfin pouvoir renaître de ses cendres
Oublier le passé nous le devions pour construire demain
Les âmes de nos martyrs allaient enfin sortir de l’hombre
Mensonge, tromperie tous nos espoirs demeureraient vains
Dite à ma mère qu’elle doit sécher ses larmes
Elle ne doit pas renoncer et continuer à lutter
A ce prix seulement je pourrais demeurer apaisé
Dite à mon père de ne pas déposer les armes
En souvenir de son fils qu’ils ont comme lui trompé
L’Hydre est la, dans vos rangs, tapie, prête a frapper
Elle est votre ennemie, elle se nourrie de vos espoirs
La trahison, la duplicité, ont pus la faire se ressusciter
Lutter et ne pas nous oublier Vous en avez le devoir
Combattez vous le devez pour que règne enfin la liberté
Insouciant, innocent, je profitais de mes tout juste vingt ans
Comment pouvoir, imaginer quitter ce pays qui s’offrait a moi
Crédule, confiant j’avais cru à leurs rêves de changement
Leurs discours avaient su mettre fin à mes désirs d’occident
Dite à ma mère qu’elle doit sécher ses larmes
En ce lieu la sérénité parait de rigueur
En ce lieu enfin je puis demeurer apaisé
Dite à mon père de ne pas déposer les armes
En souvenir de son fils qu’il a tant aimé
Un coup de tonnerre interrompit brusquement ma rêverie
Du moins tel fut ma pensée, la dernière de mes pensées
Ils avaient osés, osé l’utilisé, lui le gamin du quartier
En m’élevant je vis mon corps sans vie, déchiqueté, explosé
Et l’hydre se repaître de ce spectacle de damnée
Dite à ma mère qu’elle doit sécher ses larmes
En ce lieu la sérénité parait de rigueur
En ce lieu enfin je puis demeurer apaisé
Dite à mon père de ne pas déposer les armes
En souvenir de son fils qu’il a tant aimé
On nous avait promis que le salut était a porté de main
Que notre nation allait enfin pouvoir renaître de ses cendres
Oublier le passé nous le devions pour construire demain
Les âmes de nos martyrs allaient enfin sortir de l’hombre
Mensonge, tromperie tous nos espoirs demeureraient vains
Dite à ma mère qu’elle doit sécher ses larmes
Elle ne doit pas renoncer et continuer à lutter
A ce prix seulement je pourrais demeurer apaisé
Dite à mon père de ne pas déposer les armes
En souvenir de son fils qu’ils ont comme lui trompé
L’Hydre est la, dans vos rangs, tapie, prête a frapper
Elle est votre ennemie, elle se nourrie de vos espoirs
La trahison, la duplicité, ont pus la faire se ressusciter
Lutter et ne pas nous oublier Vous en avez le devoir
Combattez vous le devez pour que règne enfin la liberté
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