Jamil ( poesie Arabe)
BATHNA, MA BIEN-AIMEE
Ô Bathna, vous m'avez infligé un si long tournant,
que mon désir ferait pleurer sur moi les tourterelles...
Les épieurs n'ont fait qu'augmenter mon ardente affection;
les multiples défenses ont prolongé ma résistence;
L'exil qui nous sépare n'a point porté l'oubli,
et la longueur des nuit n'a fait germer la haine.
Tu sais bien, toi dont la bouche m'abreuve d'une eau douce,
que j'ai soif de ne point entrevoir ton visage.
J'ai craint de rencontrer un jour la mort soudaine,
alors qu'en moi un tel besoin de toi me presse!
BATHNA, MA BIEN-AIMEE
Ô Bathna, vous m'avez infligé un si long tournant,
que mon désir ferait pleurer sur moi les tourterelles...
Les épieurs n'ont fait qu'augmenter mon ardente affection;
les multiples défenses ont prolongé ma résistence;
L'exil qui nous sépare n'a point porté l'oubli,
et la longueur des nuit n'a fait germer la haine.
Tu sais bien, toi dont la bouche m'abreuve d'une eau douce,
que j'ai soif de ne point entrevoir ton visage.
J'ai craint de rencontrer un jour la mort soudaine,
alors qu'en moi un tel besoin de toi me presse!
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