Qu’un silence étouffant à l’intime de l’âme,
Et des larmes coulant sur mes joues
Pour ce cri épuisant découpant comme lame,
Mon sourire sans chant et mes yeux fatigués…
Je ne sais plus vider l’océan de ses pluies,
Ni mon cœur encrier de ses mots dépassés…
Je ne sais que pleurer pour aller m’oublier,
Quand mon Être tombé, ère seul sous la vie…
Qu’un silence tranchant aux chaleurs de l’infâme,
Et des cris peints de blanc sur mes papiers brûlés,
Pour ces mots étranglant dont je n’ai plus la flamme,
Une prison sans vent où je suis enfermée.
Je ne sais plus vider l’océan de mes larmes,
Qu’en silences étouffants sur mes joues,
Je ne sais que pleurer à l’intime de l’âme,
Pour ce cri épuisant mes yeux si fatigués…
Poeme Inconnu
Et des larmes coulant sur mes joues
Pour ce cri épuisant découpant comme lame,
Mon sourire sans chant et mes yeux fatigués…
Je ne sais plus vider l’océan de ses pluies,
Ni mon cœur encrier de ses mots dépassés…
Je ne sais que pleurer pour aller m’oublier,
Quand mon Être tombé, ère seul sous la vie…
Qu’un silence tranchant aux chaleurs de l’infâme,
Et des cris peints de blanc sur mes papiers brûlés,
Pour ces mots étranglant dont je n’ai plus la flamme,
Une prison sans vent où je suis enfermée.
Je ne sais plus vider l’océan de mes larmes,
Qu’en silences étouffants sur mes joues,
Je ne sais que pleurer à l’intime de l’âme,
Pour ce cri épuisant mes yeux si fatigués…
Poeme Inconnu
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