Femme, tu es irrésistible, comme la mer,
Eblouissante de beauté, de grâce et de lumière,
Quand tu resplendis de ton feu tendre et ardent !
***
Femme, tu es libre et majestueuse comme la mer,
Tu règnes de l' infini insondable de tes songes
Jusqu' aux rives brumeuses de nos tourments!
***
Tu aspires dans tes tourbillons capricieux
Tant de marins présomptueux et imprudents
Qui croient dompter tes fougueux courants!
***
Femme, tu es mystérieuse, comme la mer,
Tu contiens dans tes pensées tant de splendeurs
Plus précieuses et rares que l' or et l' argent!
***
Femme, tu es riche et infinie, comme la mer,
Nul conquérant ne peut posséder tes secrets
Nul voyageur ne peut embrasser tes vastes
horizons!
***
Femme, tu es animée de passions, comme la mer ,
Tes désirs ont la vigueur de la vague impérieuse
Quand tu t'emportes dans tes fougueux élans!
***
Femme, tu deviens épanouie et rêveuse, comme la mer,
Lorsque le Soleil vaincu, empourpré de désirs
Vient éteindre dans l' onde ses dards flamboyants,
***
Comme elle tu t'abandonnes dans les bras de ton amant
Lascive et indolente, expirant tes murmures charmants
Comme un appel suave, comme un vin étourdissant!
***
Oh! Comme j' aime me laisser ravir par tes ressacs!
Me laisser bercer par tes soupirs attendrissants
Que sussurent tes murmures languissants!
Inconnue
Eblouissante de beauté, de grâce et de lumière,
Quand tu resplendis de ton feu tendre et ardent !
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Femme, tu es libre et majestueuse comme la mer,
Tu règnes de l' infini insondable de tes songes
Jusqu' aux rives brumeuses de nos tourments!
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Tu aspires dans tes tourbillons capricieux
Tant de marins présomptueux et imprudents
Qui croient dompter tes fougueux courants!
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Femme, tu es mystérieuse, comme la mer,
Tu contiens dans tes pensées tant de splendeurs
Plus précieuses et rares que l' or et l' argent!
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Femme, tu es riche et infinie, comme la mer,
Nul conquérant ne peut posséder tes secrets
Nul voyageur ne peut embrasser tes vastes
horizons!
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Femme, tu es animée de passions, comme la mer ,
Tes désirs ont la vigueur de la vague impérieuse
Quand tu t'emportes dans tes fougueux élans!
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Femme, tu deviens épanouie et rêveuse, comme la mer,
Lorsque le Soleil vaincu, empourpré de désirs
Vient éteindre dans l' onde ses dards flamboyants,
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Comme elle tu t'abandonnes dans les bras de ton amant
Lascive et indolente, expirant tes murmures charmants
Comme un appel suave, comme un vin étourdissant!
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Oh! Comme j' aime me laisser ravir par tes ressacs!
Me laisser bercer par tes soupirs attendrissants
Que sussurent tes murmures languissants!
Inconnue
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