« Mort ; ai-je dit ? IL n’y a pas de mort. Seulement un changement de mondes » propos attribués au chef Indien Seattle
Idir
Jamais oubliées les collines, ni d’ailleurs la montagne
Les corps meurent l’œuvre se réveille
Revisite la mémoire
Sur les pages d’un livre
Sur les rimes d’un poème
Au son d’une flute
Vibration d’une corde de guitare
Suspendent le temps et nous mettre
Dans le berceau de l’éternité
Corps fourbus et mains calleuses accrochées
A une terre enlacée par la majesté des oliviers
Témoins d’une vieille histoire que perpétue
Mon fils, ton fils
Nos enfants qui s’abreuvent à la première source d’un conte
Puis
A l’avant dernière source d’une chanson
Je me souviens d’une berceuse, d’une douceur, d’un rire d’enfant
D’un feu de bois allumé pour l’éternité.
Inconnu ( Un petits Hommage a Hamid Cheriet dit Idir )
Idir
Jamais oubliées les collines, ni d’ailleurs la montagne
Les corps meurent l’œuvre se réveille
Revisite la mémoire
Sur les pages d’un livre
Sur les rimes d’un poème
Au son d’une flute
Vibration d’une corde de guitare
Suspendent le temps et nous mettre
Dans le berceau de l’éternité
Corps fourbus et mains calleuses accrochées
A une terre enlacée par la majesté des oliviers
Témoins d’une vieille histoire que perpétue
Mon fils, ton fils
Nos enfants qui s’abreuvent à la première source d’un conte
Puis
A l’avant dernière source d’une chanson
Je me souviens d’une berceuse, d’une douceur, d’un rire d’enfant
D’un feu de bois allumé pour l’éternité.
Inconnu ( Un petits Hommage a Hamid Cheriet dit Idir )