Ce grand amour, c’était le paradis !
Ce grand amour, retour à ses vingt ans,
Ce grand amour, si mal finis, juste les débris,
Mon cœur est triste, mon cœur se meurt,
Quand je te penses, quand je regrette,
Ce grand amour, tué par les jaloux.
Pourquoi, dis moi, pourquoi faire ca,
Pourquoi détruire quattre ans de tendres rêves ?
Pouquoi tuer mon coeu, mon cœur à toi,
Mon cœur si plein d’amour et de passion.
Et tout cela pour quoi, pour des motifs si vils et si futiles.
Je te pardonne chéri, mais peux tu oublier,
Le mal que tu m’as fait, guidé par les jaloux.
L’envie est une gangrène
Qui ne pardonne pas l’amour,
Et le tuer c’est la vengeance
De qui ne sait vraiment aimer ou pardonner.
Ouvre tes yeux, tes sombres yeux,
Où je lisais ce grand amour,
Ce grand amour fini, qui ne pourras mourir,
Les souvenirs, moments heureux, douceur, tendresse et volupté,
Tous ces détails d’un grand amour,
Minus détails, moments de feu, follie a deux,
Se perdre au chaud de tes caresses
Et oublier le monde à la douceur de tes baisers.
Ce grand amour, jamais il periras,
Il est gravé a feux, au plus profond du cœur,
Du cœur qui t’as aimé, aimé plus que la vie,
Aimé jusqu’à se perdre et le donner au tien,
Et maintenant ce cœur il agonise dans la détresse,
Tu l’as tué en détruisant ce grand et éternel amour !
Ce grand amour, retour à ses vingt ans,
Ce grand amour, si mal finis, juste les débris,
Mon cœur est triste, mon cœur se meurt,
Quand je te penses, quand je regrette,
Ce grand amour, tué par les jaloux.
Pourquoi, dis moi, pourquoi faire ca,
Pourquoi détruire quattre ans de tendres rêves ?
Pouquoi tuer mon coeu, mon cœur à toi,
Mon cœur si plein d’amour et de passion.
Et tout cela pour quoi, pour des motifs si vils et si futiles.
Je te pardonne chéri, mais peux tu oublier,
Le mal que tu m’as fait, guidé par les jaloux.
L’envie est une gangrène
Qui ne pardonne pas l’amour,
Et le tuer c’est la vengeance
De qui ne sait vraiment aimer ou pardonner.
Ouvre tes yeux, tes sombres yeux,
Où je lisais ce grand amour,
Ce grand amour fini, qui ne pourras mourir,
Les souvenirs, moments heureux, douceur, tendresse et volupté,
Tous ces détails d’un grand amour,
Minus détails, moments de feu, follie a deux,
Se perdre au chaud de tes caresses
Et oublier le monde à la douceur de tes baisers.
Ce grand amour, jamais il periras,
Il est gravé a feux, au plus profond du cœur,
Du cœur qui t’as aimé, aimé plus que la vie,
Aimé jusqu’à se perdre et le donner au tien,
Et maintenant ce cœur il agonise dans la détresse,
Tu l’as tué en détruisant ce grand et éternel amour !
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