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Tetnahaw ga3.

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  • Tetnahaw ga3.




    Vous avez dit cinquième mandat,
    Nous avons dit Basta !,
    Vous êtes des sans gênes,
    Nous sommes des sans regrets,

    Tetnahaw ga3.

    Vous vouliez une année de sursis,
    Nous nous sommes un peu plus endurcis,
    Vous êtes des sans gênes,
    Nous sommes des sans regrets,

    Tetnahaw ga3.

    Vous voulez vous ménager,
    Nous voulons vous dégager,
    Nous n'aurons aucun regret,
    Pour une bande de sans gênes,

    Tetnahaw ga3

    Vous voulez nous avoir à l'usure,
    Nous avons pris la mesure,
    Vous pensez avoir de la veine,
    Nous avons le plus grand regret,

    Tetnahaw ga3.

    Vous voulez renaître de vos cendres,
    Nous aimerions tous vous faire pendre,
    Nous n'aurons pas de regrets,
    Vous méritez toutes les peines,

    Tetnahaw ga3.

    Vous usez de répressions,
    Nous accentuons les pressions,
    Ce n'est même pas la peine,
    Nous resisterons bon gré mal
    gré,

    Tetnahaw ga3.

    Quand Vendredir nous sied,
    Faut il toujours que vous merdassiez,
    Et puez de l'haleine,
    Haletants pédigrees,

    Tetnahaw ga3.

    Nous marchons pacifiques,
    Vous nous réprimez maléfiques,
    Nous reviendrons chaque semaine,
    Que vous jouiez ou non les commissaires Maigret,

    Tetnahaw ga3.

    Nous rejetons vos élections,
    Toute la "3saba"(bande) sans exception,
    Les menaces les brutalités sont vaines,
    Nos confiances en soi sont aux plus hauts degrés,

    Tetnahaw ga3.



    #ekteb #yetnahaw_ga3 #algerie #revolution #liberte #espoir #الجزائر #ثورة #حرية
    Chaavane Ath Ahmedh
    Credit photo : @mha.dz
    البعره تدل على البعير

    Quand l’injustice devient la loi, la Résistance est un Devoir !✊🏼DZ

  • #2
    lettre à Ali la pointe

    dz(0000/1111)dz

    Commentaire


    • #3
      Le hirak en poésie

      L’équipage du naufrage
      Ose nous parler encore


      L’équipage du naufrage
      Ose nous parler encore,
      Il compte sur son ramage
      Pour nous mener à bon port.
      Visant un malin suffrage
      Et toutes sortes de truquage
      Il compte obtenir notre accord
      Pour nous faire monter à bord
      De son bateau, sans sillage
      Dans une mer sans rivage,
      A nous faire perdre le nord.

      Le peuple ne peut plus oser
      Supporter tant de nausées,
      Partez espèce de vils,
      Partez et laisser le pays tranquille
      Pour que nous ne partions plus.
      Nous vous avons que trop vus
      Nous en avons plus qu’assez
      De vos commandes débiles.

      Allez-y, quittez le navire
      Avant que tout ne chavire
      Au point de ne rien pouvoir sauver.
      Avec vous, le pays n’a pas d’avenir
      Les vents contraires à vos soupirs
      Ont trahi vos désirs,
      Ont trahi vos destinées.

      Nous mettons le voile
      Vers une autre destination,
      Dans le sens de l’espoir
      ET de l’émancipation,
      Dans la rue comme sur la toile,
      Nous vous mettons à poil
      Par des arguments soutenus
      ET des vérités toutes nues.

      De nouveaux guides aux commandes
      Qui n’ont, ni tué, ni exilé
      C’est ce que le peuple demande
      Pour retrouver sa liberté,
      Son innocence perdue,
      Après avoir tant applaudi
      Ceux qui ont assassiné
      Les meilleurs hommes du pays.

      Pour la patrie de demain,
      La révolution fait son chemin,
      Elle ne peut, ni tourner,
      Ni être détournée,
      Tant que nous sommes,
      Par des hommes,
      Par des humains
      Qui ont du sang dans les mains.
      Dernière modification par katiaret, 17 novembre 2019, 10h44.
      dz(0000/1111)dz

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      • #4
        Moi, la Démocratie

        Moi, la Démocratie

        Ces hommes qui marchent, maman,
        Ne me donnent que du slogan,
        Je fais face à un pouvoir à la dérive
        Qui fait tout pour qu’il survive.

        Il ne s’excuse, ni ne se repent,
        Pour gagner du temps,
        Il veut un pont
        Qui le connecte à l’autre rive.

        La faille qu’il s’est créée avec le citoyen
        A pris les dimensions d’un grand ravin,
        Je suis sûr qu’il lui est vain
        De penser au scrutin.

        Après tant de couleuvres avalées,
        Il vous invite à voter,
        Après toute honte bue
        Dans un pétrole mal investi,
        Après tant de bobards
        Qui vous font perdre espoir,
        Tâchez de garder en souvenir,
        Le cachir en gage d’avenir.

        Sa soif du pouvoir
        Vous met sur la fausse route,
        Doté d’un malin vouloir
        Qu’il cache de son beau ramage,
        Ça coutera plus d’un fromage
        A toute personne qui l’écoute.

        « Chers algériens, chères algériennes
        Je ne vous demande pas la lune,
        J’ai récité l’oraison de Boumediene
        Et, maintenant, vous m’en devez une. »

        « C’est mon rêve de tout instant… »

        …Et Ainsi murmura le président.

        R.C
        dz(0000/1111)dz

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        • #5
          Tres touchant le poeme sur la vidéo, Elfamilia l avait déja posté qlq part.
          Malheureusement, on ne sait pas qui est le poete.
          Enfin, moi je en sais pas.
          “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
          comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

          Nazim Hikmet

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