Je suis seul, loin de toi, mon âme recouverte
Du voile du malheur ne laissant nul espoir,
Je ne vis ni ne meurs et mon cœur est inerte
Ne sachant plus comment j’ai sombré dans le noir.
La raison m’abandonne et je cours à ma perte
Je t’en supplie, reviens, la maison est ouverte.
Comme à chaque matin, le merle est de retour,
Du haut du citronnier, il lance un chant d’amour,
Sa compagne aussitôt le rejoint sur sa branche,
Je le vois et me dit qu’il a bien de la chance.
Je t’en supplie, reviens, La raison m’abandonne,
Je m’enferme souvent et ne vois plus personne.
Je m’affale le soir sur un lit bien trop large
J’ai beau fermer les yeux, je demeure éveillé,
Dans un rêve insensé je revois ton visage,
Mais dès que j’en approche, tout semble s’embrouiller.
Mais si tu revenais, j’allumerais le feu,
Tu verrais les étoiles et tu ferais des vœux.
Sur la moquette grise, le chien est endormi,
Quelquefois il sursaute et relève la tête,
Il se dresse soudain, il marche, et puis s’arrête,
Il guette le retour de sa meilleure amie.
Tu sentiras l’odeur du feu fumant le pin,
Et la viande grillée à l’arôme de thym.
Je n’oublierai jamais ce jour où tu m’as dit :
« Je n’aimerai que toi durant toute la vie ».
Je t’adorais déjà et tu semblais ravie,
Mais que pouvons-nous faire contre la maladie ?
Je t’en supplie, reviens, je suis là, je t’attends,
L’hiver s’en est allé, c’est déjà le printemps.
Tu viendras t’enfermer dans mes bras d’amoureux,
Je chanterai pour toi mes poèmes d’amour,
Tu t’y reconnaitras, depuis nos premiers jours,
Puis tu t’endormiras et j’en serais heureux.
Du voile du malheur ne laissant nul espoir,
Je ne vis ni ne meurs et mon cœur est inerte
Ne sachant plus comment j’ai sombré dans le noir.
La raison m’abandonne et je cours à ma perte
Je t’en supplie, reviens, la maison est ouverte.
Comme à chaque matin, le merle est de retour,
Du haut du citronnier, il lance un chant d’amour,
Sa compagne aussitôt le rejoint sur sa branche,
Je le vois et me dit qu’il a bien de la chance.
Je t’en supplie, reviens, La raison m’abandonne,
Je m’enferme souvent et ne vois plus personne.
Je m’affale le soir sur un lit bien trop large
J’ai beau fermer les yeux, je demeure éveillé,
Dans un rêve insensé je revois ton visage,
Mais dès que j’en approche, tout semble s’embrouiller.
Mais si tu revenais, j’allumerais le feu,
Tu verrais les étoiles et tu ferais des vœux.
Sur la moquette grise, le chien est endormi,
Quelquefois il sursaute et relève la tête,
Il se dresse soudain, il marche, et puis s’arrête,
Il guette le retour de sa meilleure amie.
Tu sentiras l’odeur du feu fumant le pin,
Et la viande grillée à l’arôme de thym.
Je n’oublierai jamais ce jour où tu m’as dit :
« Je n’aimerai que toi durant toute la vie ».
Je t’adorais déjà et tu semblais ravie,
Mais que pouvons-nous faire contre la maladie ?
Je t’en supplie, reviens, je suis là, je t’attends,
L’hiver s’en est allé, c’est déjà le printemps.
Tu viendras t’enfermer dans mes bras d’amoureux,
Je chanterai pour toi mes poèmes d’amour,
Tu t’y reconnaitras, depuis nos premiers jours,
Puis tu t’endormiras et j’en serais heureux.
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