C'est l'automne,
Les feuilles vont mourir,
Moi je pense à vous,
Sur l'eau de ma vie monotone,
Le vent met son souffle doux,
Et je viens ici vous écrire.
Coucher les mots mélancoliques,
D'un Amour qui devient si fort,
Sur le papier je m'applique,
Croyez-vous que j'aie tort ?
Le froid arrive et me dépose,
Comme une réponse sur mes doigts,
Mais si je n'écris pas, si je n'ose,
Personne ne sera là pour moi.
Ouvrir pour vous, mon coeur,
Vous dire que l'absence est une amie,
Pour l'oublier, rarement je ris,
Qu'elle emporte tout dans son malheur,
Qu'il me manque vos bras,
Même si je ne les connais pas.
Vous décrire mes peurs,
De ne jamais vous voir,
Car près de moi vous ne serez pas.
Je vous aime, voilà l'automne,
Les feuilles vont mourir,
Faut-il que je donne,
Ou bien que j'abandonne,
Dans l'agonie de mon soupir,
Ai-je l'encre de la raison,
Sur la feuille de votre horizon.
La pluie se moque chaque jour de moi,
Et se mêle au long cours de mes larmes,
Je vais vous écrire, oui, encore une fois,
Quelques mots d'amour qui désarment.
Je n'ai qu'un regard,
Pour offrir ma tendresse,
Caché dans le ciel chaque soir,
Je le cherche sans cesse.
C'est l'automne,
Les feuilles viennent mourir,
Doucement, là sur ma vie,
Je pense à vous si loin de moi,
Et je reste seule à vous écrire.
Carole Riquet.
Les feuilles vont mourir,
Moi je pense à vous,
Sur l'eau de ma vie monotone,
Le vent met son souffle doux,
Et je viens ici vous écrire.
Coucher les mots mélancoliques,
D'un Amour qui devient si fort,
Sur le papier je m'applique,
Croyez-vous que j'aie tort ?
Le froid arrive et me dépose,
Comme une réponse sur mes doigts,
Mais si je n'écris pas, si je n'ose,
Personne ne sera là pour moi.
Ouvrir pour vous, mon coeur,
Vous dire que l'absence est une amie,
Pour l'oublier, rarement je ris,
Qu'elle emporte tout dans son malheur,
Qu'il me manque vos bras,
Même si je ne les connais pas.
Vous décrire mes peurs,
De ne jamais vous voir,
Car près de moi vous ne serez pas.
Je vous aime, voilà l'automne,
Les feuilles vont mourir,
Faut-il que je donne,
Ou bien que j'abandonne,
Dans l'agonie de mon soupir,
Ai-je l'encre de la raison,
Sur la feuille de votre horizon.
La pluie se moque chaque jour de moi,
Et se mêle au long cours de mes larmes,
Je vais vous écrire, oui, encore une fois,
Quelques mots d'amour qui désarment.
Je n'ai qu'un regard,
Pour offrir ma tendresse,
Caché dans le ciel chaque soir,
Je le cherche sans cesse.
C'est l'automne,
Les feuilles viennent mourir,
Doucement, là sur ma vie,
Je pense à vous si loin de moi,
Et je reste seule à vous écrire.
Carole Riquet.
Commentaire