La gourmandise
Tentante et insoumise,
Sournoisement et en guise
D’une joie passagère, elle vise
Nos rondeurs telle une mainmise.
Le pourquoi de cette emprise
S’avère être une vraie surprise.
La luxure
Habituée des endroits obscurs,
Elle s’adonne avec démesure,
Tel un démon souillant le pur
Pour combler son faste d’ordures.
Des séquelles, elle n’en a cure,
Son âme n’est que froidure.
L’avarice
Rapace et calculatrice,
Elle s’applique avec vice
Pour devenir détentrice
Des richesses déviatrices.
Trésors demeurent ses complices
Sans calme et instants propices.
L’orgueil
En un clin d’œil,
Sans qu’on ne le veuille,
Tel qu’un écueil,
Nous mène vers le seuil,
Comme une feuille
Sur un cercueil.
L’envie
Comme la jalousie,
Eternelles amies,
Nous rongent sans répit
Avec des drames infinis,
A gâcher tout une vie
Pour posséder autrui.
La paresse
Oisive, elle professe
Inertie et mollesse
Et n’a de cesse
A se lier à l’allégresse.
Pourtant, aussi traîtresse
Elle active notre vieillesse.
La colère
Aveugle ou rouge selon l’humeur,
La vengeance incarne son confrère.
Elles nous font voir de toutes les couleurs
Les âmes blessées sans aucune teneur,
Oubliant l'éternel amour et bonheur,
Car l’essentiel est de peiner nos cœurs !
La Logique
Pourtant l’envie me pousse
Vers une gourmandise douce
Que je dégusterai avec avarice
Toute paresseuse et avec délice
Me donnant à cette luxure
Sans orgueil, je vous le jure !
Loin de moi la colère hargneuse,
Je pêche à l’envers pour être heureuse !
(les trois coccinelles)
Tentante et insoumise,
Sournoisement et en guise
D’une joie passagère, elle vise
Nos rondeurs telle une mainmise.
Le pourquoi de cette emprise
S’avère être une vraie surprise.
La luxure
Habituée des endroits obscurs,
Elle s’adonne avec démesure,
Tel un démon souillant le pur
Pour combler son faste d’ordures.
Des séquelles, elle n’en a cure,
Son âme n’est que froidure.
L’avarice
Rapace et calculatrice,
Elle s’applique avec vice
Pour devenir détentrice
Des richesses déviatrices.
Trésors demeurent ses complices
Sans calme et instants propices.
L’orgueil
En un clin d’œil,
Sans qu’on ne le veuille,
Tel qu’un écueil,
Nous mène vers le seuil,
Comme une feuille
Sur un cercueil.
L’envie
Comme la jalousie,
Eternelles amies,
Nous rongent sans répit
Avec des drames infinis,
A gâcher tout une vie
Pour posséder autrui.
La paresse
Oisive, elle professe
Inertie et mollesse
Et n’a de cesse
A se lier à l’allégresse.
Pourtant, aussi traîtresse
Elle active notre vieillesse.
La colère
Aveugle ou rouge selon l’humeur,
La vengeance incarne son confrère.
Elles nous font voir de toutes les couleurs
Les âmes blessées sans aucune teneur,
Oubliant l'éternel amour et bonheur,
Car l’essentiel est de peiner nos cœurs !
La Logique
Pourtant l’envie me pousse
Vers une gourmandise douce
Que je dégusterai avec avarice
Toute paresseuse et avec délice
Me donnant à cette luxure
Sans orgueil, je vous le jure !
Loin de moi la colère hargneuse,
Je pêche à l’envers pour être heureuse !
(les trois coccinelles)
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