L’AMITIE BAFFOUÉE
(extraits)
Tandis que les vautours sont au pouvoir
Le faucon est exilé
Le reniement détruit l’amitié.
J’ai juré que de Tizi-Ouzou
Jusqu’à Akfadou
Nul ne me fera subir sa loi.
Nous nous briserons mais sans plier :
Plutôt être maudit
Quand les chefs sont des maquereaux.
L’exil est inscrit au front :
Je préfère quitter le pays
Que d’être humilié parmi ces pourceaux.
Si ma raison n’était pas égarée
J’aurais condamné le kif
Dont profitent les gens indignes.
Il est source d’inégalité
Il a enrichi l’esclave
Le sage est resté en arrière.
O mon dieu quelle injustice !
La toléreras-tu encore ?
Si Mohand ou M’hand, un poète universel
(extraits)
Tandis que les vautours sont au pouvoir
Le faucon est exilé
Le reniement détruit l’amitié.
J’ai juré que de Tizi-Ouzou
Jusqu’à Akfadou
Nul ne me fera subir sa loi.
Nous nous briserons mais sans plier :
Plutôt être maudit
Quand les chefs sont des maquereaux.
L’exil est inscrit au front :
Je préfère quitter le pays
Que d’être humilié parmi ces pourceaux.
Si ma raison n’était pas égarée
J’aurais condamné le kif
Dont profitent les gens indignes.
Il est source d’inégalité
Il a enrichi l’esclave
Le sage est resté en arrière.
O mon dieu quelle injustice !
La toléreras-tu encore ?
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Si Mohand ou M’hand, un poète universel
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