Tolérance
Toi mon frère toi ma soeur
Ne condamnez pas facilement
Celui qui porte le malheur
Pour lui soyez cléments
Nul ne connaît vraiment
De son péché les raisons
Ne condamnez pas pour rien
Vous qui n’avez point connu
L’affreuse douleur de la faim
La pureté terrifiée fuit
Mais l’horreur la poursuit
La souille pour un morceau de pain
Ne condamnez pas facilement
vous qui n’avez point senti
Le glaive sur votre gorge nue
Consciemment ou peut-être non
Il s’acharne mû par Satan
Sur l’Ange fait de vertu
Ne condamnez pas facilement
Vous qui n’êtes pas conscient
De ce que l’on peut faire par ignorance
Faible face aux tentations
On entre dans les desseins de Satan
Sans se soucier des conséquences
Ne condamnez pas facilement
Nous sommes cause solidaire du mal
Car l’homme naît naturellement bon
La violence l’ignorance la faim
L’oppression en général
Dans ce monde mettons-y fin
Amar Azzouz - 1934
Toi mon frère toi ma soeur
Ne condamnez pas facilement
Celui qui porte le malheur
Pour lui soyez cléments
Nul ne connaît vraiment
De son péché les raisons
Ne condamnez pas pour rien
Vous qui n’avez point connu
L’affreuse douleur de la faim
La pureté terrifiée fuit
Mais l’horreur la poursuit
La souille pour un morceau de pain
Ne condamnez pas facilement
vous qui n’avez point senti
Le glaive sur votre gorge nue
Consciemment ou peut-être non
Il s’acharne mû par Satan
Sur l’Ange fait de vertu
Ne condamnez pas facilement
Vous qui n’êtes pas conscient
De ce que l’on peut faire par ignorance
Faible face aux tentations
On entre dans les desseins de Satan
Sans se soucier des conséquences
Ne condamnez pas facilement
Nous sommes cause solidaire du mal
Car l’homme naît naturellement bon
La violence l’ignorance la faim
L’oppression en général
Dans ce monde mettons-y fin
Amar Azzouz - 1934
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