À l’heure
Où l’amour
N’a pas d’heure
L’iris bruleur
Toise
Les pendules
De l’heure
Narguant
Le Bonheur
Dans un siècle
On dira encore
Aux enfants
Qui jouent
Dehors
Cette stèle
Au sang couleur
Distille
Le malheur
Sur les couches de laine
Sans pudeur, sans gêne
Se collent les abdomens
Dans les jardins d’Eden
Au terroir des baleines
Se noient les haleines
Des cœurs porcelaine
En battant des veines
Ailleurs,
Sans peur
La vie meilleure
Plane au ciel..
Les nuits sans fiel
Les abat-jours
Abritent toujours
Les hirondelles
Ici,
Les collines protègent
Le sommeil dirais-je..
La hutte en liège
Les flocons de neige
Le profond du noir
C’est mon terroir
J’ai compris ce soir
Capo
Où l’amour
N’a pas d’heure
L’iris bruleur
Toise
Les pendules
De l’heure
Narguant
Le Bonheur
Dans un siècle
On dira encore
Aux enfants
Qui jouent
Dehors
Cette stèle
Au sang couleur
Distille
Le malheur
Sur les couches de laine
Sans pudeur, sans gêne
Se collent les abdomens
Dans les jardins d’Eden
Au terroir des baleines
Se noient les haleines
Des cœurs porcelaine
En battant des veines
Ailleurs,
Sans peur
La vie meilleure
Plane au ciel..
Les nuits sans fiel
Les abat-jours
Abritent toujours
Les hirondelles
Ici,
Les collines protègent
Le sommeil dirais-je..
La hutte en liège
Les flocons de neige
Le profond du noir
C’est mon terroir
J’ai compris ce soir
Capo
Commentaire