Salam alaykoum
Notre Bien Aimé Prophète
LA Rose de Médine
Chaque fois que je t’évoque tout le reste s’efface de mon esprit
Ton fantôme se promène sur les collines de mon cœur
Quelque mirage soit-il, il apaise mes douleurs
Chaque fois que je t’évoque tout le reste s’efface de mon esprit
J’aimerais à chaque instant être inondé de ton amour
M’élever telle une âme et flâner dans ton horizon
Trouver le chemin de ton cœur, m’y couler jusqu’au fond
J’aimerais à chaque instant être inondé de ton amour
Je vois qu’il est trop tard pour atteindre ton heureuse présence
Mon cœur se consume de cette séparation et toujours se lamente
Se lamentant il t’attendra, parmi des émotions toujours vivantes,
Je vois qu’il est trop tard pour atteindre ton heureuse présence
Quand mon cœur, tel celui d’une colombe, palpite pour toi,
Je t’en supplie, donne moi une plume de ton aile pour que du sol
Je m’élève, et derrière toi pour te rejoindre sans cesse je vole,
Quand mon cœur, tel celui d’une colombe, palpite pour toi,
Ô Rose qui changea les déserts arides en Paradis !
Viens ! Coule tes couleurs éblouissantes dans mon cœur !
Il est grand temps, souris dans mes yeux qui pleurent !
Ô Rose qui changea les déserts arides en Paradis !
Que je sois ton serviteur, tel Medjoun, à courir après toi,
Jette en moi des braises que je brûle comme la fournaise
Sauve-moi de ce rêve cruel qui sans toi s’écoule et me pèse
Que je sois ton serviteur, tel Medjoun, à courir après toi,
Je compte les jours qui me séparent et m’éloignent de toi,
Une mélancolie brumeuse et obscure sur mon âme se répand
Laisse moi voir ton visage car le soleil glisse au couchant
Je compte les jours qui me séparent et m’éloignent de toi,
Qu’à mon dernier soupir mon crépuscule devienne aube,
Que de vives couleurs de ton horizon mon cœur se remplisse
Que partout l’on entende des flûtes et que les luths retentissent
Qu’à mon dernier soupir mon crépuscule devienne aube
Wa salam alaykoum
Notre Bien Aimé Prophète
LA Rose de Médine
Chaque fois que je t’évoque tout le reste s’efface de mon esprit
Ton fantôme se promène sur les collines de mon cœur
Quelque mirage soit-il, il apaise mes douleurs
Chaque fois que je t’évoque tout le reste s’efface de mon esprit
J’aimerais à chaque instant être inondé de ton amour
M’élever telle une âme et flâner dans ton horizon
Trouver le chemin de ton cœur, m’y couler jusqu’au fond
J’aimerais à chaque instant être inondé de ton amour
Je vois qu’il est trop tard pour atteindre ton heureuse présence
Mon cœur se consume de cette séparation et toujours se lamente
Se lamentant il t’attendra, parmi des émotions toujours vivantes,
Je vois qu’il est trop tard pour atteindre ton heureuse présence
Quand mon cœur, tel celui d’une colombe, palpite pour toi,
Je t’en supplie, donne moi une plume de ton aile pour que du sol
Je m’élève, et derrière toi pour te rejoindre sans cesse je vole,
Quand mon cœur, tel celui d’une colombe, palpite pour toi,
Ô Rose qui changea les déserts arides en Paradis !
Viens ! Coule tes couleurs éblouissantes dans mon cœur !
Il est grand temps, souris dans mes yeux qui pleurent !
Ô Rose qui changea les déserts arides en Paradis !
Que je sois ton serviteur, tel Medjoun, à courir après toi,
Jette en moi des braises que je brûle comme la fournaise
Sauve-moi de ce rêve cruel qui sans toi s’écoule et me pèse
Que je sois ton serviteur, tel Medjoun, à courir après toi,
Je compte les jours qui me séparent et m’éloignent de toi,
Une mélancolie brumeuse et obscure sur mon âme se répand
Laisse moi voir ton visage car le soleil glisse au couchant
Je compte les jours qui me séparent et m’éloignent de toi,
Qu’à mon dernier soupir mon crépuscule devienne aube,
Que de vives couleurs de ton horizon mon cœur se remplisse
Que partout l’on entende des flûtes et que les luths retentissent
Qu’à mon dernier soupir mon crépuscule devienne aube
Wa salam alaykoum
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