...
En divisant la société, ne peuvent s'entrevoir, par milliers de millions, que la dissonance des réalités la fulgurance des contrariétés et l'inexistence des parités, l'aperçu prolongé d'un monde divisé (n') a-t-il (déjà), pour le moins, à chaque période, à chaque issue, à tout renouveau, toujours compté de cette médiocrité pour, partout et chaque fois, échafauder la "misérabilité" de toutes divergences plus que l'altérité de toutes expériences...
Est-ce alors, ici ou ailleurs, trop ou mieux le préciser d'une famille, d'une culture, d'un peuple, à l'autre, et donc de toute urgence, à bas ces "guerres" qui plombent l'atmosphère et qui n'en font qu'une, depuis le début, qu'une seule, sans joie à toute conscience, sans gène à toute violence, sans lien à tout silence...
Quelles que soient les apparences, les appartenances, les résurgences, des différentes relativités historiques, et/ou intempestives, pour ce qu'elles admettent aux biens de leurs valeurs mais, aussi, réfutent aux maux de leurs stupeurs, lesquelles autant que lesquels, fragiles ou faciles, sans ménage et sans dommage, aux fils des âges, au gré des pages, aux bans des sages, entendent la valeurs des maux communs, la stupeur des biens lointains, rien est au dessus en dessous à côté du message de la vie, tout est au centre et sans prix...
Comme un sombre éclair
parmi toute autre lumière
que rien ne peut déchiffrer
quand toute envolée
au fil d'un rêve
aux larmes d'une brève
au milieu des espaces
d'un quartier d'une place
au cœur d'un jeu
au fond des yeux
aucune loi des échecs
aucun choix intrinsèque
un onze treize
dix mille thèse
augmentant les reflets
sans savoir où la paix
vit de ses jours
nuit de ses cours
un onze treize
fermer les parenthèses...
merci...
En divisant la société, ne peuvent s'entrevoir, par milliers de millions, que la dissonance des réalités la fulgurance des contrariétés et l'inexistence des parités, l'aperçu prolongé d'un monde divisé (n') a-t-il (déjà), pour le moins, à chaque période, à chaque issue, à tout renouveau, toujours compté de cette médiocrité pour, partout et chaque fois, échafauder la "misérabilité" de toutes divergences plus que l'altérité de toutes expériences...
Est-ce alors, ici ou ailleurs, trop ou mieux le préciser d'une famille, d'une culture, d'un peuple, à l'autre, et donc de toute urgence, à bas ces "guerres" qui plombent l'atmosphère et qui n'en font qu'une, depuis le début, qu'une seule, sans joie à toute conscience, sans gène à toute violence, sans lien à tout silence...
Quelles que soient les apparences, les appartenances, les résurgences, des différentes relativités historiques, et/ou intempestives, pour ce qu'elles admettent aux biens de leurs valeurs mais, aussi, réfutent aux maux de leurs stupeurs, lesquelles autant que lesquels, fragiles ou faciles, sans ménage et sans dommage, aux fils des âges, au gré des pages, aux bans des sages, entendent la valeurs des maux communs, la stupeur des biens lointains, rien est au dessus en dessous à côté du message de la vie, tout est au centre et sans prix...
Comme un sombre éclair
parmi toute autre lumière
que rien ne peut déchiffrer
quand toute envolée
au fil d'un rêve
aux larmes d'une brève
au milieu des espaces
d'un quartier d'une place
au cœur d'un jeu
au fond des yeux
aucune loi des échecs
aucun choix intrinsèque
un onze treize
dix mille thèse
augmentant les reflets
sans savoir où la paix
vit de ses jours
nuit de ses cours
un onze treize
fermer les parenthèses...
merci...
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