Hélàs en leur jeunesse, ils s'aimaient d'un coeur tendre
Mais le chuchotement des voix peut répandre,
Un perfide venin dont meurt la vérité.
La vie est épineuse et la jeunesse est vaine.
La constance chancelle et succombe ici-bas,
Et la colère envers l'être que nous aimons,
Egare le cerveau comme une âpre folie.
Chacun dit à l'ami, au frère de son coeur,
Des paroles d'insulte et d'orgueilleux mépris.
Ils se sont séparés - pour ne plus se revoir !
Mais le vide s'est fait dans leur âme angoissée
Rien n'a pu consoler la peine de leur coeur.
Pareils à ces rochers qu'un cataclysme fend,
Et qui jadis unis entendent maintenant,
Battre à leur pied, le flot sombre qui les sépare.
Ils restent à jamais marqués d'une blessure,
Et ni chaleur, ni gel, ni grêle ni tonnerre,
N'effaceront jamais malgré tout leur effort,
de leur flanc douloureux, la cicatrice amère ...
Mais le chuchotement des voix peut répandre,
Un perfide venin dont meurt la vérité.
La vie est épineuse et la jeunesse est vaine.
La constance chancelle et succombe ici-bas,
Et la colère envers l'être que nous aimons,
Egare le cerveau comme une âpre folie.
Chacun dit à l'ami, au frère de son coeur,
Des paroles d'insulte et d'orgueilleux mépris.
Ils se sont séparés - pour ne plus se revoir !
Mais le vide s'est fait dans leur âme angoissée
Rien n'a pu consoler la peine de leur coeur.
Pareils à ces rochers qu'un cataclysme fend,
Et qui jadis unis entendent maintenant,
Battre à leur pied, le flot sombre qui les sépare.
Ils restent à jamais marqués d'une blessure,
Et ni chaleur, ni gel, ni grêle ni tonnerre,
N'effaceront jamais malgré tout leur effort,
de leur flanc douloureux, la cicatrice amère ...
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