en hommage à tous ces anciens qui ont été évoqués dans le topic de retour de ‘’Illumination’’ dans la rubrique ‘’rencontres’’. Mais aussi un peu d'histoire (du forum) pour les nouveaux.
Une rue aux pavés de pétales.
Une rue aux pavés de pétales et aux trottoirs de rosiers
Sous le club de rencontres et jouxtant le café du village,
Accueillait en son sein les âmes et les cœurs en brasiers
En quête d’idylle, de romance ou de mots qui soulagent.
Qu’il était bon de venir s’asseoir sur un de ses bancs
Jusqu’au bout de la nuit, à l’heure où la rime déferle
Et illumine le ciel de couleurs, comme du satin en ruban.
Bien sage celui ou celle qui l’a surnommée rue des perles.
Elle soignait bras ouverts les guerriers de l’amour en défaite,
Puis les aidait à ourdir une revanche et à affûter leurs armes
Elle conviait sous son toit les amoureux qui faisaient la fête,
Et celui qui pleurait venait près d’elle pour sécher ses larmes.
Son royaume d’étendues poétiques était incontournable,
Le cœur tourmenté y trouvait à coup sûr, un havre de paix
Même les garçons des lycées avaient dans leurs cartables,
Des pétales dérobés de la rue, pour les papillons à attraper.
Où sont-ils, ceux qui soignaient ses trottoirs et ses pavés?
Le bruit de leurs pas chevaleresques faisait fuir la solitude.
Où sont-elles, celles qui, avec l’encre de leur plume, bravaient
Les tempêtes de l’âme et du cœur et leur livide inquiétude ?
30/10/2008
Une rue aux pavés de pétales.
Une rue aux pavés de pétales et aux trottoirs de rosiers
Sous le club de rencontres et jouxtant le café du village,
Accueillait en son sein les âmes et les cœurs en brasiers
En quête d’idylle, de romance ou de mots qui soulagent.
Qu’il était bon de venir s’asseoir sur un de ses bancs
Jusqu’au bout de la nuit, à l’heure où la rime déferle
Et illumine le ciel de couleurs, comme du satin en ruban.
Bien sage celui ou celle qui l’a surnommée rue des perles.
Elle soignait bras ouverts les guerriers de l’amour en défaite,
Puis les aidait à ourdir une revanche et à affûter leurs armes
Elle conviait sous son toit les amoureux qui faisaient la fête,
Et celui qui pleurait venait près d’elle pour sécher ses larmes.
Son royaume d’étendues poétiques était incontournable,
Le cœur tourmenté y trouvait à coup sûr, un havre de paix
Même les garçons des lycées avaient dans leurs cartables,
Des pétales dérobés de la rue, pour les papillons à attraper.
Où sont-ils, ceux qui soignaient ses trottoirs et ses pavés?
Le bruit de leurs pas chevaleresques faisait fuir la solitude.
Où sont-elles, celles qui, avec l’encre de leur plume, bravaient
Les tempêtes de l’âme et du cœur et leur livide inquiétude ?
30/10/2008
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