c'est l'heure, il faut se réveiller
sortir de cette léthargie, de l'avant aller
chaque pas, rapproche du trépas
chaque pas, diminue ma foi
je me demande où sont passés mes rêves
je ne saurais dire, s'ils sont devenus ceux d'un autres
quelques part, je les ai délaissé
en enchainant des pas vers l'avenir précipités
qui sait de quoi demain sera fait
c'est ce que me dis, tard le soir, la voie lactée
quand finirais-je, dans ses bras enlacé
vers quoi ou qui, seront tournées, mes pensées
et voilà la fin d'une époque
les départ, de tristes jours m'évoquent
ma vie glisse entre mes doigts
je le vois, en voyant les autres, depuis le toit
si je devais revivre, ce serait comme le vent
voyageur incessant, porteur de bruits qui courts
murmurant à l'oreille des solitaires
que leur pleurs, ils devront taire
les saisons s'enchainent
tandis qu'à la vie on s'enchaine
laissant une ...trainée de pas, qui nous entraine
vers un passé lointain, suscitant de la peine
je dis qu'il ne faut plus sourire aux inconnus
ne plus parler avec son coeur, car c'est se mettre à nu
ne plus souhaiter la bienvenue
aux pauvres petits, nouveaux venus
ce n'est pas moi qui suis triste mais la vie
de souffrance, de trahison, de mélancolie
de départ construite, de séparation, de maladie
de déception, de solitude, de joie éphémère, de vide
certes, si le soleil se couche, il se lèvera
si le temps pleure, il se taira
et le matin, essuie des larmes rosée
mais c’est la nuit éternelle qui domine ...
sortir de cette léthargie, de l'avant aller
chaque pas, rapproche du trépas
chaque pas, diminue ma foi
je me demande où sont passés mes rêves
je ne saurais dire, s'ils sont devenus ceux d'un autres
quelques part, je les ai délaissé
en enchainant des pas vers l'avenir précipités
qui sait de quoi demain sera fait
c'est ce que me dis, tard le soir, la voie lactée
quand finirais-je, dans ses bras enlacé
vers quoi ou qui, seront tournées, mes pensées
et voilà la fin d'une époque
les départ, de tristes jours m'évoquent
ma vie glisse entre mes doigts
je le vois, en voyant les autres, depuis le toit
si je devais revivre, ce serait comme le vent
voyageur incessant, porteur de bruits qui courts
murmurant à l'oreille des solitaires
que leur pleurs, ils devront taire
les saisons s'enchainent
tandis qu'à la vie on s'enchaine
laissant une ...trainée de pas, qui nous entraine
vers un passé lointain, suscitant de la peine
je dis qu'il ne faut plus sourire aux inconnus
ne plus parler avec son coeur, car c'est se mettre à nu
ne plus souhaiter la bienvenue
aux pauvres petits, nouveaux venus
ce n'est pas moi qui suis triste mais la vie
de souffrance, de trahison, de mélancolie
de départ construite, de séparation, de maladie
de déception, de solitude, de joie éphémère, de vide
certes, si le soleil se couche, il se lèvera
si le temps pleure, il se taira
et le matin, essuie des larmes rosée
mais c’est la nuit éternelle qui domine ...
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