Le cœur sans envie
Pour chasser les peines de la fatalité
J’agence des mots pour apaiser mes maux
Des mots tristes voir mélancoliques
Des mots que le cœur confie
Des mots écrits de bouts de souffrances
Pour calmer ma tristesse, des mots qui enlacent le cœur
J’ai épuisé tous les maux pour parler à ton ombre
J’ai tari la source de mes larmes à pleurer
Dans la nuit noire, je t’attends
Dès que tu apparais, tout s’éclaircit
Quelque chose de furtive est passée
Je suis ton ombre
Qui se dessèche
Le temps se faisant
Le jour se levant, je te cherche sans jamais te retrouver
Je ne sais plus vraiment si je suis éveillée
Te parler est une joie meurtrie
Je suis sous le joug d'un coeur meurtri
Oppressé, pris dans une sphère de colère contenue
Qui se déverse dans l’âme
Je regrette de n’avoir saisi tous les mots
Pour épancher tous mes maux
Qui se dérobent
Quand l'émotion est grande et me saisit
J'affronte la vie, d’un regard vieilli de peines et soucis
Quand tu étais là, Maman
Dans mes yeux
Je ne voyais que le bonheur
Aujourd'hui, les joies sont mortes
Je ne vois que malheur
Dors ma petite maman
Je veillerais sur toi dans mon cœur
Que je te tends, Maman
Ce petit bout de moi que tu sublimes
Au-delà de l’absence, je remets une présence
Ces mots, au coeur sont tourments
Reviens maman,me donner la force et le courage
Je range dans mon cœur ton souvenir
À chaque fois que je sens la douleur me submerger
J’implore ce souvenir
Que m’importe la raison ?
Tu me manques,maman
Pour l'éternité.
coronaria Mai 2016

Pour chasser les peines de la fatalité
J’agence des mots pour apaiser mes maux
Des mots tristes voir mélancoliques
Des mots que le cœur confie
Des mots écrits de bouts de souffrances
Pour calmer ma tristesse, des mots qui enlacent le cœur
J’ai épuisé tous les maux pour parler à ton ombre
J’ai tari la source de mes larmes à pleurer
Dans la nuit noire, je t’attends
Dès que tu apparais, tout s’éclaircit
Quelque chose de furtive est passée
Je suis ton ombre
Qui se dessèche
Le temps se faisant
Le jour se levant, je te cherche sans jamais te retrouver
Je ne sais plus vraiment si je suis éveillée
Te parler est une joie meurtrie
Je suis sous le joug d'un coeur meurtri
Oppressé, pris dans une sphère de colère contenue
Qui se déverse dans l’âme
Je regrette de n’avoir saisi tous les mots
Pour épancher tous mes maux
Qui se dérobent
Quand l'émotion est grande et me saisit
J'affronte la vie, d’un regard vieilli de peines et soucis
Quand tu étais là, Maman
Dans mes yeux
Je ne voyais que le bonheur
Aujourd'hui, les joies sont mortes
Je ne vois que malheur
Dors ma petite maman
Je veillerais sur toi dans mon cœur
Que je te tends, Maman
Ce petit bout de moi que tu sublimes
Au-delà de l’absence, je remets une présence
Ces mots, au coeur sont tourments
Reviens maman,me donner la force et le courage
Je range dans mon cœur ton souvenir
À chaque fois que je sens la douleur me submerger
J’implore ce souvenir
Que m’importe la raison ?
Tu me manques,maman
Pour l'éternité.
coronaria Mai 2016

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