une tres modeste contribution....par un (autre) moment de solitude...encore!
Je traverse ce désert, tel un rêve vide
sous ce soleil de plomb, froid et perfide
marre, de ces années qui se suivent
tes rayons, tes griffes qui tatouent jusqu’au fin fond de ma peau
ta lumière qui aveugle, qui dessèche mes mots
o soleil brulant, glaçant et agaçant, pourquoi ne me quittes tu point
Et ce tarmac qui n’en finit plus,
tel un serpent noir, déchirant ces vagues de sables et de silence
pourquoi, encore et encore, m’éloignes tu des miens
pourquoi s’allier au soleil, pour que je perde encore mes liens
o maudite route, je ne respire que ta poussière,
je t’ai prise plus qu’aucune femme,
et pourtant je ne ressens que répugnance
des années durant, mes larmes remplissent ton calice
et sous le crépissement de mes roues
je t’entends glousser de mes tourments.....et des larmes des miens
ces milliers de chemins, et j’ai pris tous ces chemins
dans tous les cieux et par toutes les terres
mais qui ne font qu’un, car m’éloignant tous d’ « Elle »
O maudite porte, cesse de me lorgner de ton œil coupable
je n’y peux que m’y faire a ses larmes,
dis moi porte, comptais tu nos étreintes d’adieu ?
comptais tu ses soupirs et ses craintes ?
toi, temoin fidele d’années d’au revoir et prend soin de toi
toi, de fer et de verre, n’as-tu pas fondu à chaque baiser, à chaque reste encore
pourtant, les années ont que trop passé, mais sa flamme flamboie,
sur cette route qui ne me quittes pas
je ne vois que son sourire, qui illumine ses yeux humides
je ne sens que sa fragrance, tel un ange de mon Eden
o cœur qui saigne, pour l’amour d’ « elle » , arrete d’y penser
guide moi sur ce chemin du desert, qui plus tard
me ramenera a « Elle »
Je traverse ce désert, tel un rêve vide
sous ce soleil de plomb, froid et perfide
marre, de ces années qui se suivent
tes rayons, tes griffes qui tatouent jusqu’au fin fond de ma peau
ta lumière qui aveugle, qui dessèche mes mots
o soleil brulant, glaçant et agaçant, pourquoi ne me quittes tu point
Et ce tarmac qui n’en finit plus,
tel un serpent noir, déchirant ces vagues de sables et de silence
pourquoi, encore et encore, m’éloignes tu des miens
pourquoi s’allier au soleil, pour que je perde encore mes liens
o maudite route, je ne respire que ta poussière,
je t’ai prise plus qu’aucune femme,
et pourtant je ne ressens que répugnance
des années durant, mes larmes remplissent ton calice
et sous le crépissement de mes roues
je t’entends glousser de mes tourments.....et des larmes des miens
ces milliers de chemins, et j’ai pris tous ces chemins
dans tous les cieux et par toutes les terres
mais qui ne font qu’un, car m’éloignant tous d’ « Elle »
O maudite porte, cesse de me lorgner de ton œil coupable
je n’y peux que m’y faire a ses larmes,
dis moi porte, comptais tu nos étreintes d’adieu ?
comptais tu ses soupirs et ses craintes ?
toi, temoin fidele d’années d’au revoir et prend soin de toi
toi, de fer et de verre, n’as-tu pas fondu à chaque baiser, à chaque reste encore
pourtant, les années ont que trop passé, mais sa flamme flamboie,
sur cette route qui ne me quittes pas
je ne vois que son sourire, qui illumine ses yeux humides
je ne sens que sa fragrance, tel un ange de mon Eden
o cœur qui saigne, pour l’amour d’ « elle » , arrete d’y penser
guide moi sur ce chemin du desert, qui plus tard
me ramenera a « Elle »
Commentaire