Avec des mots, ils habillent leur solitude infinie,
Avec précaution, ils brodent un napperon vide,
Avec dévotion, ils se drapent d'une robe déni,
Avec admiration, ils regardent le désert aride.
L'amour fait peur, leurs vies faites de rancoeurs,
Leurs phrases ne parlent de tous les malheurs,
Leur monde n'est que cris, larmes et douleurs,
Plaintes, hurlements, sanglots sans la ferveur.
Un chemin désertique au milieu des ténèbres,
Aveuglés par les néons de la fête du Trône,
Ils errent dans un monde laid, sombre, atone,
Ils sont perdus dans un tunnel froid et lugubre.
octobre 2015
Avec précaution, ils brodent un napperon vide,
Avec dévotion, ils se drapent d'une robe déni,
Avec admiration, ils regardent le désert aride.
L'amour fait peur, leurs vies faites de rancoeurs,
Leurs phrases ne parlent de tous les malheurs,
Leur monde n'est que cris, larmes et douleurs,
Plaintes, hurlements, sanglots sans la ferveur.
Un chemin désertique au milieu des ténèbres,
Aveuglés par les néons de la fête du Trône,
Ils errent dans un monde laid, sombre, atone,
Ils sont perdus dans un tunnel froid et lugubre.
octobre 2015
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