bonjour tout le monde
Au seuil de ma fenêtre
=====>fleur d'iris
Au seuil de ma fenêtre
Je suis là, lasse
J’effeuille mes feuilles
Maman est un mot si cher
La plus douce créature
Tu guéris tous les maux
Ma mère, ma chère mère
Le vent de la douleur murmure
Les sentiments s’agitent
Avec violence, mon cœur me serre
Les mots, tel le venin
Dans ma bouche me brûlent
Ce venin se déverse dans mon cœur et esprit
Ta maladie maman
M’étrangle, me bouscule
Le temps, sans aucune pitié
Me jette dans les bras de la souffrance
Réponds moi, misérable temps
Qu’as tu fait à ma maman
Impuissante, ligotée
Face à ta maladie
Que faire satanée vie
Tu nous prends au dépourvu
Tu nous jettes dans la gueule du loup
Et tu te marres bien de nous
Est ce cela le destin?oh croyant !
Je n’ose imaginer la suite
Tous me revient de pleins fouets
Pauvre maman !
Pourquoi donc la maladie s’acharne sur toi ?
Chère maman ! Tu ne le mérites pas !
Je regrette tout ce temps que j’ai gâché sans être avec toi
Oh misérable temps
Que t’a- elle fait ma pauvre maman
Si tu pouvais revenir en arrière
Que je puisse lui dire combien
Je l’aime , combien je l’adore
Tantôt, tu fus ma maman
Tantôt ma copine et un peu ma fille
J’adorais l’habiller à ma façon
Elle se laissait faire
Pour me plaire, elle ne voulait pas changer
Ma mère fut la sœur des hommes
Doté de bonté, loyauté et hospitalité
Gentillesse et douceur sont sa réputation
Elle engendrait autour d’elle, le respect
Seule, tu as bravé le temps, pour nous élever
Que d'épreuves tu as dû traverser
Merci pour tout l'amour que tu as su nous donner
Soit fière chère maman
On n’en fait plus comme toi
Aujourd’hui
Le chant de la douleur murmure,murmure
La maladie s’est invitée
J’aurais voulu être l’espoir de ton âme fatiguée
Ma mère nous a tout donné
Sa vie et sa jeunesse
Elle ne se plaignait jamais
Il ne me reste que les larmes
Arme ou remède
Si elles pouvaient te guérir
J’en perds la raison
Je couche mes maux sur ses mots
Ces mots que mon cœur dictent
J’implore mon dieu
Du haut de votre ciel
De t’épargner la souffrance
Ta vie n’est qu’une esquisse
Je ne veux imaginer
J’ai peur
La porte de ta maison s’est fermée
Et les espoirs perdus
Le pilier de la famille s’est écroulé subitement
Oh ma douce maman !
Ton nom est gravé dans ma mémoire
Tu es dans mon cœur à jamais
Qui l’aurait cru
Temps de misère
Tu es sans pitié
Tu nous affliges les pires épreuves
Dans ma tête, maman, je vois ton visage , en boucle
J'ai des regrets
Tout ce que je n'ai pas su faire avec toi
De ne pas être là avec toi
De ne pouvoir donné plus,pour te soulager
Chaque jour, déjà, tu me manques
Remonter le temps, pour te prendre dans mes bras
Combien tu comptes pour moi
Je ne veux pas que tu partes
Oh ma douce maman !
J’ai tant de tristesse, presque de la haine
J’aimerais pouvoir effacer les affres de ta maladie
Te sortir de ses griffes
Tout cela m’est si sombre
Tous les jours je me demande pourquoi ?
Pourquoi toi ?
Tout est de la faute de cette maladie
Toutes les lumières se sont éteintes
Je n’ai rien pour combattre le noir
Et j’ai peur
Loin de toi
Affreusement peur
Sans toi !
J’effeuille mes feuilles
Maman est un mot si cher
La plus douce créature
Tu guéris tous les maux
Ma mère, ma chère mère
Le vent de la douleur murmure
Les sentiments s’agitent
Avec violence, mon cœur me serre
Les mots, tel le venin
Dans ma bouche me brûlent
Ce venin se déverse dans mon cœur et esprit
Ta maladie maman
M’étrangle, me bouscule
Le temps, sans aucune pitié
Me jette dans les bras de la souffrance
Réponds moi, misérable temps
Qu’as tu fait à ma maman
Impuissante, ligotée
Face à ta maladie
Que faire satanée vie
Tu nous prends au dépourvu
Tu nous jettes dans la gueule du loup
Et tu te marres bien de nous
Est ce cela le destin?oh croyant !
Je n’ose imaginer la suite
Tous me revient de pleins fouets
Pauvre maman !
Pourquoi donc la maladie s’acharne sur toi ?
Chère maman ! Tu ne le mérites pas !
Je regrette tout ce temps que j’ai gâché sans être avec toi
Oh misérable temps
Que t’a- elle fait ma pauvre maman
Si tu pouvais revenir en arrière
Que je puisse lui dire combien
Je l’aime , combien je l’adore
Tantôt, tu fus ma maman
Tantôt ma copine et un peu ma fille
J’adorais l’habiller à ma façon
Elle se laissait faire
Pour me plaire, elle ne voulait pas changer
Ma mère fut la sœur des hommes
Doté de bonté, loyauté et hospitalité
Gentillesse et douceur sont sa réputation
Elle engendrait autour d’elle, le respect
Seule, tu as bravé le temps, pour nous élever
Que d'épreuves tu as dû traverser
Merci pour tout l'amour que tu as su nous donner
Soit fière chère maman
On n’en fait plus comme toi
Aujourd’hui
Le chant de la douleur murmure,murmure
La maladie s’est invitée
J’aurais voulu être l’espoir de ton âme fatiguée
Ma mère nous a tout donné
Sa vie et sa jeunesse
Elle ne se plaignait jamais
Il ne me reste que les larmes
Arme ou remède
Si elles pouvaient te guérir
J’en perds la raison
Je couche mes maux sur ses mots
Ces mots que mon cœur dictent
J’implore mon dieu
Du haut de votre ciel
De t’épargner la souffrance
Ta vie n’est qu’une esquisse
Je ne veux imaginer
J’ai peur
La porte de ta maison s’est fermée
Et les espoirs perdus
Le pilier de la famille s’est écroulé subitement
Oh ma douce maman !
Ton nom est gravé dans ma mémoire
Tu es dans mon cœur à jamais
Qui l’aurait cru
Temps de misère
Tu es sans pitié
Tu nous affliges les pires épreuves
Dans ma tête, maman, je vois ton visage , en boucle
J'ai des regrets
Tout ce que je n'ai pas su faire avec toi
De ne pas être là avec toi
De ne pouvoir donné plus,pour te soulager
Chaque jour, déjà, tu me manques
Remonter le temps, pour te prendre dans mes bras
Combien tu comptes pour moi
Je ne veux pas que tu partes
Oh ma douce maman !
J’ai tant de tristesse, presque de la haine
J’aimerais pouvoir effacer les affres de ta maladie
Te sortir de ses griffes
Tout cela m’est si sombre
Tous les jours je me demande pourquoi ?
Pourquoi toi ?
Tout est de la faute de cette maladie
Toutes les lumières se sont éteintes
Je n’ai rien pour combattre le noir
Et j’ai peur
Loin de toi
Affreusement peur
Sans toi !
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