du vécu ne subsistent que souvenirs
de jours lointains, à jamais perdus
présent du passé au présent, ils perdurent mais cachés
et s'évanouissent, comme un murmure qui s'est tut
nous avançons tous, chacun de son coté
arpentons chemins et sentiers,
nous arrêtant à des croisements
le temps de demander sa route, on se rend compte
que l'hiver fut bref, et que désormais, le jaune luit
du gris pousse sur les cimes de nos crânes
des rides se creusent, fendent les visages
le temps devient précieux, l'instant trop éphémère
et la nuit, ponctuée ds soupirs, appels de détresse silencieux
jadis furent des jours, des choses et des visages
on en oublierait presque, que le présent fera parti de ces vestiges
à la lumière d'une bougie qui frémi
je pose ma prose me demandant pour quelle raison
mes doigts glissent sur le clavier, comme sur une chevelure
dessinant des mots,racontant des états
d'une âme qui peine à regarder vers l'avenir
ils étaient là; à l'instant ces instants de bonheur
joie absolue arrachée au marasme de la vie
comme des arbres qui dansent, bercés par le vent
mes pensées voguent, emportée par l'évasion de mon esprit
qu'aurions nous dû faire, qu'aurions nous pu dire
à quel moment, s'est-on trompé de chemin...
ma vie, dure-t-elle depuis assez longtemps
je le pense en effet, mais le rideau reste levé
dites au père noël qu'il a raté sa vocation
au marchand de sable qu'il dort trop souvent
dites aux clowns qu'ils cachent mal leur tristesse
et à Cupidon qu'il n'a plus de corde à son arc
de jours lointains, à jamais perdus
présent du passé au présent, ils perdurent mais cachés
et s'évanouissent, comme un murmure qui s'est tut
nous avançons tous, chacun de son coté
arpentons chemins et sentiers,
nous arrêtant à des croisements
le temps de demander sa route, on se rend compte
que l'hiver fut bref, et que désormais, le jaune luit
du gris pousse sur les cimes de nos crânes
des rides se creusent, fendent les visages
le temps devient précieux, l'instant trop éphémère
et la nuit, ponctuée ds soupirs, appels de détresse silencieux
jadis furent des jours, des choses et des visages
on en oublierait presque, que le présent fera parti de ces vestiges
à la lumière d'une bougie qui frémi
je pose ma prose me demandant pour quelle raison
mes doigts glissent sur le clavier, comme sur une chevelure
dessinant des mots,racontant des états
d'une âme qui peine à regarder vers l'avenir
ils étaient là; à l'instant ces instants de bonheur
joie absolue arrachée au marasme de la vie
comme des arbres qui dansent, bercés par le vent
mes pensées voguent, emportée par l'évasion de mon esprit
qu'aurions nous dû faire, qu'aurions nous pu dire
à quel moment, s'est-on trompé de chemin...
ma vie, dure-t-elle depuis assez longtemps
je le pense en effet, mais le rideau reste levé
dites au père noël qu'il a raté sa vocation
au marchand de sable qu'il dort trop souvent
dites aux clowns qu'ils cachent mal leur tristesse
et à Cupidon qu'il n'a plus de corde à son arc
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