Triste sort d’un poisson rouge...
Janvier 2006
Toujours autour de moi, ce même va et vient
Des gens qui passe, discute, je les vois rire
Il arrive parfois qu’on me tende la main
Mais je ne peux qu’observer sans intervenir
Toutes ces belles choses autour de toi
On me les propose sans demander prix
On me les dispose juste là tout prés de moi
Ça m’attire, me frustre, tout ça me donne envie
Aujourd’hui grand jour ils sont tous là réunis
Princes et princesses assistent au fameux bal
J’aimerais les rejoindre : ça goutte, ça danse, ça rit
Mais j’aurais peur de me blesser en brisant ce bocal
Mieux vaut ne pas faire de vague et accepter
Peut-être faut-il alors fermer les yeux et oublier
Toutes ces belles choses pour ne pas pleurer
Triste sort que ce milieu dans lequel je suis né.
Novembre 2006
Je tourne encore et toujours dans ce même bocal
Non résigné à fermer les yeux pour oublier
J’observe et j’admire, même si ça fait mal
Car dans mes gènes est inscrite ma curiosité.
L’idée qu’un jour je puisse m’évader
M’a bien souvent traversé l’esprit
L’idée qu’un jour je puisse tout faire exploser
Mais la raison me demande à quel prix
L’oxygène vient à me manquer
La conviction d’appartenir à l’être suprême
Est la seule pompe qui me fasse respirer
L’unique appât qui m’aide à patienter.
Un jour si Dieu le veut, j'irais à ce fameux bal
mes nageoires deviendront alors des ailes
et sans le briser je quitterais enfin mon bocal
sans faire de vague je m'envolerais vers le ciel...
De fleurs en fleurs
Je te chercherai avec espoir
Parfumé de senteur si tendre
Je croiserais ton regard
Je te lancerai des appels
Avec des mots au goût de miel
Tu m'emmeneras sous tes ailes
je commencerais alors une vie nouvelle
Nous vivrons des nuits blanches
Avec de l’amour en avalanche
Sans matinée de dimanche
Janvier 2006
Toujours autour de moi, ce même va et vient
Des gens qui passe, discute, je les vois rire
Il arrive parfois qu’on me tende la main
Mais je ne peux qu’observer sans intervenir
Toutes ces belles choses autour de toi
On me les propose sans demander prix
On me les dispose juste là tout prés de moi
Ça m’attire, me frustre, tout ça me donne envie
Aujourd’hui grand jour ils sont tous là réunis
Princes et princesses assistent au fameux bal
J’aimerais les rejoindre : ça goutte, ça danse, ça rit
Mais j’aurais peur de me blesser en brisant ce bocal
Mieux vaut ne pas faire de vague et accepter
Peut-être faut-il alors fermer les yeux et oublier
Toutes ces belles choses pour ne pas pleurer
Triste sort que ce milieu dans lequel je suis né.
Novembre 2006
Je tourne encore et toujours dans ce même bocal
Non résigné à fermer les yeux pour oublier
J’observe et j’admire, même si ça fait mal
Car dans mes gènes est inscrite ma curiosité.
L’idée qu’un jour je puisse m’évader
M’a bien souvent traversé l’esprit
L’idée qu’un jour je puisse tout faire exploser
Mais la raison me demande à quel prix
L’oxygène vient à me manquer
La conviction d’appartenir à l’être suprême
Est la seule pompe qui me fasse respirer
L’unique appât qui m’aide à patienter.
Un jour si Dieu le veut, j'irais à ce fameux bal
mes nageoires deviendront alors des ailes
et sans le briser je quitterais enfin mon bocal
sans faire de vague je m'envolerais vers le ciel...
De fleurs en fleurs
Je te chercherai avec espoir
Parfumé de senteur si tendre
Je croiserais ton regard
Je te lancerai des appels
Avec des mots au goût de miel
Tu m'emmeneras sous tes ailes
je commencerais alors une vie nouvelle
Nous vivrons des nuits blanches
Avec de l’amour en avalanche
Sans matinée de dimanche
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