Quand le vent de l’automne emportait mon ennui,
Quand le chant de la mer, au milieu de la nuit
Racontait l’aventure à ma mélancolie,
Quand le chaud de l’hiver s’installait dans mon lit
Et me fermait les yeux, alors tu m’appelais,
Et nos rêves aux cieux aussitôt se mêlaient.
Que les rêves d’amour, par une nuit si belle
Composent chaque jour d’une vie éternelle ;
Que les mots de la nuit qui remplissent nos cœurs
S’inscrivent aujourd’hui en lettres de bonheur ;
Car le discours du vent et le chant de la mer
Ont mis fin aux tourments d’une existence amère.
Toi qui vient chaque soir vers mon âme blessée
Pour habiller d’espoir mes illusions chassées,
Tu seras à jamais ma joie et mon secours,
Mon réflexe d’aimer, mon unique recours.
Quand le chant de la mer, au milieu de la nuit
Racontait l’aventure à ma mélancolie,
Quand le chaud de l’hiver s’installait dans mon lit
Et me fermait les yeux, alors tu m’appelais,
Et nos rêves aux cieux aussitôt se mêlaient.
Que les rêves d’amour, par une nuit si belle
Composent chaque jour d’une vie éternelle ;
Que les mots de la nuit qui remplissent nos cœurs
S’inscrivent aujourd’hui en lettres de bonheur ;
Car le discours du vent et le chant de la mer
Ont mis fin aux tourments d’une existence amère.
Toi qui vient chaque soir vers mon âme blessée
Pour habiller d’espoir mes illusions chassées,
Tu seras à jamais ma joie et mon secours,
Mon réflexe d’aimer, mon unique recours.
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