Poème pour une femme qui n’existe pas ?
L’invisibilité sociale !
Cette fille, cette femme qui n’existe pas. Qui existe peu ou importe peu.
Femme, si la vie n’est pas de ton gout
Sert très fort de bout en bout, entre tes dents.
Je sais combien tu es triste, paisible et je sais que les larmes sont invisibles.
Comme ton visage intangible entre la poussière et la lueur du soleil
Quand je te vois balayer dans la cour à ton réveil
Et que les autres somnolent en contorsion comme des ourses en hibernation
Il te tente ce mouvement brusque vers l’extérieur.
Ce regard évasif et contemplatif. Vers les monts et les champs de fleurs
Pour galoper avec les petits agneaux et chanté avec les moineaux.
Fuir pour te défraichir de la noirceur de ces tombeaux
Femme à l’air jouissif Qui se tape le même impulsif
Tous les soirs à cœur joie intensif.
Les êtres humais sont en pagaille quand tu rafle ces fleures immortelles
Fleures immortelles qui resplendissent ton visage
Tu es là, tu es insensible à ton malheur et tu n’écoute plus les voix de ton cœur
A cœur joie tu dilapide ta jeunesse en guettant la vieillesse qui te périsse.
Femme et fille loin des prémisses, loin de tes promesses.
Postr@
L’invisibilité sociale !
Cette fille, cette femme qui n’existe pas. Qui existe peu ou importe peu.
Femme, si la vie n’est pas de ton gout
Sert très fort de bout en bout, entre tes dents.
Je sais combien tu es triste, paisible et je sais que les larmes sont invisibles.
Comme ton visage intangible entre la poussière et la lueur du soleil
Quand je te vois balayer dans la cour à ton réveil
Et que les autres somnolent en contorsion comme des ourses en hibernation
Il te tente ce mouvement brusque vers l’extérieur.
Ce regard évasif et contemplatif. Vers les monts et les champs de fleurs
Pour galoper avec les petits agneaux et chanté avec les moineaux.
Fuir pour te défraichir de la noirceur de ces tombeaux
Femme à l’air jouissif Qui se tape le même impulsif
Tous les soirs à cœur joie intensif.
Les êtres humais sont en pagaille quand tu rafle ces fleures immortelles
Fleures immortelles qui resplendissent ton visage
Tu es là, tu es insensible à ton malheur et tu n’écoute plus les voix de ton cœur
A cœur joie tu dilapide ta jeunesse en guettant la vieillesse qui te périsse.
Femme et fille loin des prémisses, loin de tes promesses.
Postr@
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