Rêve, je suis une utopie née dans les caprices de tes moments d’insouciance et qui balise tes errances.
Mais qu’est le songe, sinon cette trajectoire qui vrille le temps et anéantit l’espace qui la porte jusque dans les intimes profondeurs des nuits paisibles propices à la rêverie ?
Rêve, je suis un songe né dans le secret des lumières des conscience qui éclaire et précise la voie de ceux qui recherchent les vaines incertitudes des hypothétiques bonheurs à travers les difficultés, les errements, les reniements, les égarements, les abdications assumées, les convictions non revendiquées et les amères désillusions.
Rêve, tu es le rêve, je suis le rêve dont l’image, le sens et le parfum persistent dans la mémoire des sens après que l’utopie se soit emparé des possibles lendemains.
Rêve, tu es ma fantastique vision qui lève les voiles sur le secret des rêves libérateurs et asservissant qui entravent mes illusions et dévore mes satisfactions.
Rêve, image d’un mirage surgissant des confins de nos doutes et de nos convictions pour nous conduire dans le monde des certitudes chancelantes et des vaines attentes aux portes de l’espace des incompréhensions.
Rêve, songe prémonitoire, tu sacralises mes espoirs, tu brise mes résistances, tu réveilles ma conscience et tu m’aides à mémoriser le sens des mots qui ornent le cœur des caresses.
Rêve d’Orient, songe d’Occident, vision magique et féerique née au sein des quatre horizons, mirage d’ici et de là-bas jaillissant de nulle part, tu embrases le crépuscule de mes caprices et tu illumines les aubes de mes fantasmes.
Songe étrange, je suis le rêve, un rêve d’amour, issu de l’amour, conçu dans l’amour, riche du souvenir de tes moments de trouble, de tes candeurs, de tes innocences, intime de tes espaces magiques où la réalité sublime se confond avec les illusoires évidences des mirages.
Mirage, je suis une vision intemporelle née au cœur du néant des espérances reconquises, j’habite la mémoire des rêves qui ornent tes nuits de délires et tes jours de désirs.
Rêve, je suis un mirage né au milieu des déserts incendiés par le soleil des fantasmes, je fonde la vigilance des insouciants pour transformer les possibles en certitudes, les amours éphémères en passions ciselées dans l’or des cœurs des amants.
Songe, du rêve je possède le parfum et la flamme qui donne vie et entretient la vigilance des âmes qui errent aux confins des espaces singuliers des caprices qui nargue le temps et le hasard des jours qui passent.
Rêve surgissant du néant de l’immédiateté des instants de bonheur, je survis au bord de la nostalgie persécutée d’un univers vide de ta présence, orphelin de l’image de ton visage et des promesses que ton regard incruste sur la paroi fragile de mes espérances.
Mirage, souvenir de l’image d’une réalité qui n’a pas de prise sur son essence, une réalité évanescente qui se nourrit du passé pour donner souffle à un présent porteur d’un futur qui tend ses bras pour abriter notre amour et notre complicité;
Mais qu’est le songe, sinon cette trajectoire qui vrille le temps et anéantit l’espace qui la porte jusque dans les intimes profondeurs des nuits paisibles propices à la rêverie ?
Rêve, je suis un songe né dans le secret des lumières des conscience qui éclaire et précise la voie de ceux qui recherchent les vaines incertitudes des hypothétiques bonheurs à travers les difficultés, les errements, les reniements, les égarements, les abdications assumées, les convictions non revendiquées et les amères désillusions.
Rêve, tu es le rêve, je suis le rêve dont l’image, le sens et le parfum persistent dans la mémoire des sens après que l’utopie se soit emparé des possibles lendemains.
Rêve, tu es ma fantastique vision qui lève les voiles sur le secret des rêves libérateurs et asservissant qui entravent mes illusions et dévore mes satisfactions.
Rêve, image d’un mirage surgissant des confins de nos doutes et de nos convictions pour nous conduire dans le monde des certitudes chancelantes et des vaines attentes aux portes de l’espace des incompréhensions.
Rêve, songe prémonitoire, tu sacralises mes espoirs, tu brise mes résistances, tu réveilles ma conscience et tu m’aides à mémoriser le sens des mots qui ornent le cœur des caresses.
Rêve d’Orient, songe d’Occident, vision magique et féerique née au sein des quatre horizons, mirage d’ici et de là-bas jaillissant de nulle part, tu embrases le crépuscule de mes caprices et tu illumines les aubes de mes fantasmes.
Songe étrange, je suis le rêve, un rêve d’amour, issu de l’amour, conçu dans l’amour, riche du souvenir de tes moments de trouble, de tes candeurs, de tes innocences, intime de tes espaces magiques où la réalité sublime se confond avec les illusoires évidences des mirages.
Mirage, je suis une vision intemporelle née au cœur du néant des espérances reconquises, j’habite la mémoire des rêves qui ornent tes nuits de délires et tes jours de désirs.
Rêve, je suis un mirage né au milieu des déserts incendiés par le soleil des fantasmes, je fonde la vigilance des insouciants pour transformer les possibles en certitudes, les amours éphémères en passions ciselées dans l’or des cœurs des amants.
Songe, du rêve je possède le parfum et la flamme qui donne vie et entretient la vigilance des âmes qui errent aux confins des espaces singuliers des caprices qui nargue le temps et le hasard des jours qui passent.
Rêve surgissant du néant de l’immédiateté des instants de bonheur, je survis au bord de la nostalgie persécutée d’un univers vide de ta présence, orphelin de l’image de ton visage et des promesses que ton regard incruste sur la paroi fragile de mes espérances.
Mirage, souvenir de l’image d’une réalité qui n’a pas de prise sur son essence, une réalité évanescente qui se nourrit du passé pour donner souffle à un présent porteur d’un futur qui tend ses bras pour abriter notre amour et notre complicité;
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