Ciel obscur
Regarde, mon amour, ce coin de ciel obscur
Où meurent doucement des restes de clarté,
Découvrant peu à peu l’éternelle beauté
D’un monde merveilleux la céleste nature.
Vois-tu que les dessins de ces flocons de laine
S’accrochent vainement aux ultimes lueurs
Dévoilant à chacun le fond de sa douleur
Avant de disparaître aux ténèbres prochaines ?
Mais l’étoile naissante s’installe avec douceur
Elle apporte la joie aux êtres qui espèrent,
Soulage les blessures d’une existence amère
Et promet aux heureux un peu plus de bonheur.
L’étoile éblouissante ne brille pas ainsi
Pour qui ferme les yeux ou se regarde à peine,
Comme le jour qui meurt, notre amour meurt aussi,
Et un jour nous dirons : « ça ne vaut plus la peine ».
Regarde, mon amour, ce coin de ciel obscur
Où meurent doucement des restes de clarté,
Découvrant peu à peu l’éternelle beauté
D’un monde merveilleux la céleste nature.
Vois-tu que les dessins de ces flocons de laine
S’accrochent vainement aux ultimes lueurs
Dévoilant à chacun le fond de sa douleur
Avant de disparaître aux ténèbres prochaines ?
Mais l’étoile naissante s’installe avec douceur
Elle apporte la joie aux êtres qui espèrent,
Soulage les blessures d’une existence amère
Et promet aux heureux un peu plus de bonheur.
L’étoile éblouissante ne brille pas ainsi
Pour qui ferme les yeux ou se regarde à peine,
Comme le jour qui meurt, notre amour meurt aussi,
Et un jour nous dirons : « ça ne vaut plus la peine ».
Commentaire