Ecouter et entendre le silence!
Je suis le silence, confident attentif des regards dont l’éloquence charme et fait vibrer les cœurs en quête d’absolu et d’amour.
Je suis le silence qui interroge les confins des passions pour connaître le mystère de l’origine des détresses qui désarticulent les instants ivres de plaisir.
Je suis le silence, enchanteur des profondeurs des océans qui inventent la complicité qui irradie les espaces incendiés par les feux des jubilatoires jouissances.
Je suis le silence qui se fait or pour narguer les occurrences qui décontenancent les êtres attardés dans les contrées des stérilités discursives.
Je suis le silence qui se tait pour prêter le regard à la sublime clarté qui pointe aux quatre horizons de nos deux existences.
Je suis le silence qui respire les effluves des roses qui racontent le bonheur d’aimer et de chérir un être de lumière.
Je suis le silence qui brave les vacarmes des vies en détresse pour purifier les moments de connivences qui renient les désespoirs non assumés.
Je suis le silence des nuits gélives qui frémissent sous le regard complice d’une lune éblouie par l’harmonie des instants qui naissent dans la profondeur de nos yeux avides de lumineuses espérances.
Je suis le silence des amoureux dont le regard fixe l’horizon pour figer la course effrénée des moments qui s’écoulent entre les doigts des jours et des nuits.
Je suis le silence qui parle et qui dit les réalités pour tenter de donner consistance aux espoirs de bonheurs tant attendus.
Je suis le silence, ami des mystérieux conciliabules des cœurs dévorés de désirs au plus profond des nuits qui aspirent à la pérennité des passions.
Je suis le silence qui invente les mots dont les sens apprivoisent les stridences des heures euphoriques qui étreignent les lueurs étranges des crépuscules.
Je suis le silence subjugué par le charme indicible et mystérieux des mots qui donnent sens et vie aux doux murmures des corps qui renaissent aux cœurs des instants palpitants.
Je suis le silence qui entend les vagues de la passion déferler sur les sens en émois des amoureux qui se contemplent dans le miroir des serments et des lendemains qui s’annoncent.
Je suis le silence, substance des rêves pétris de douceur et avide de chaleur des soleils qui embrasent et incendient les cœurs qui s’adorent et les âmes qui se cherchent.
Je suis le silence qui entrouvre le temple des âmes dont les frémissements inventent les couleurs des aubes qui se pressent à l’horizon des serments d’amour échangés dans le secret des heures fébriles abandonnées par le sommeil.
Je suis le silence, confident attentif des regards dont l’éloquence charme et fait vibrer les cœurs en quête d’absolu et d’amour.
Je suis le silence qui interroge les confins des passions pour connaître le mystère de l’origine des détresses qui désarticulent les instants ivres de plaisir.
Je suis le silence, enchanteur des profondeurs des océans qui inventent la complicité qui irradie les espaces incendiés par les feux des jubilatoires jouissances.
Je suis le silence qui se fait or pour narguer les occurrences qui décontenancent les êtres attardés dans les contrées des stérilités discursives.
Je suis le silence qui se tait pour prêter le regard à la sublime clarté qui pointe aux quatre horizons de nos deux existences.
Je suis le silence qui respire les effluves des roses qui racontent le bonheur d’aimer et de chérir un être de lumière.
Je suis le silence qui brave les vacarmes des vies en détresse pour purifier les moments de connivences qui renient les désespoirs non assumés.
Je suis le silence des nuits gélives qui frémissent sous le regard complice d’une lune éblouie par l’harmonie des instants qui naissent dans la profondeur de nos yeux avides de lumineuses espérances.
Je suis le silence des amoureux dont le regard fixe l’horizon pour figer la course effrénée des moments qui s’écoulent entre les doigts des jours et des nuits.
Je suis le silence qui parle et qui dit les réalités pour tenter de donner consistance aux espoirs de bonheurs tant attendus.
Je suis le silence, ami des mystérieux conciliabules des cœurs dévorés de désirs au plus profond des nuits qui aspirent à la pérennité des passions.
Je suis le silence qui invente les mots dont les sens apprivoisent les stridences des heures euphoriques qui étreignent les lueurs étranges des crépuscules.
Je suis le silence subjugué par le charme indicible et mystérieux des mots qui donnent sens et vie aux doux murmures des corps qui renaissent aux cœurs des instants palpitants.
Je suis le silence qui entend les vagues de la passion déferler sur les sens en émois des amoureux qui se contemplent dans le miroir des serments et des lendemains qui s’annoncent.
Je suis le silence, substance des rêves pétris de douceur et avide de chaleur des soleils qui embrasent et incendient les cœurs qui s’adorent et les âmes qui se cherchent.
Je suis le silence qui entrouvre le temple des âmes dont les frémissements inventent les couleurs des aubes qui se pressent à l’horizon des serments d’amour échangés dans le secret des heures fébriles abandonnées par le sommeil.
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