J'ai écrit un poème pour un homme,
et j’écris celui la pour le même,
celui-là, mon idole, mon savant, mon premier amour,
celui-là, qui m'a promis l’étoile jusqu’à mes mains,
celui-là, qui m'a donné tout ce qu'il pouvait,
celui-là, qui m'a bercé et m'a pris dans ses bras,
celui-là, qui m'a soutenue, qui m'a fait danser dans ses bras,
celui-là, qui m'a vu grandir, fleurir et qui était là pour applaudir,
celui-là... il n'en existe jamais ailleurs,
On nous a souvent dit qu'on se ressemblait beaucoup,
avec fierté on sourit mais.. j'aurai quand même voulu apprendre de toi la facilité des mots,
j'aurai aimé vouloir te dire que je t'aime, comme tu me l'as dit dans un moment ou tu croyais me perdre , mais .. j'ai rougi de gêne..,
Tu me connais bien n'est ce pas, tu le sais déjà ?, mes yeux ne mentent pas, il parlent quand ma bouche s’émeut, et aujourd’hui rien qu'a l'idée que je pourrai te perdre me serre la gorge et fait traverser des larmes muets sur mes joues.
et j’écris celui la pour le même,
celui-là, mon idole, mon savant, mon premier amour,
celui-là, qui m'a promis l’étoile jusqu’à mes mains,
celui-là, qui m'a donné tout ce qu'il pouvait,
celui-là, qui m'a bercé et m'a pris dans ses bras,
celui-là, qui m'a soutenue, qui m'a fait danser dans ses bras,
celui-là, qui m'a vu grandir, fleurir et qui était là pour applaudir,
celui-là... il n'en existe jamais ailleurs,
On nous a souvent dit qu'on se ressemblait beaucoup,
avec fierté on sourit mais.. j'aurai quand même voulu apprendre de toi la facilité des mots,
j'aurai aimé vouloir te dire que je t'aime, comme tu me l'as dit dans un moment ou tu croyais me perdre , mais .. j'ai rougi de gêne..,
Tu me connais bien n'est ce pas, tu le sais déjà ?, mes yeux ne mentent pas, il parlent quand ma bouche s’émeut, et aujourd’hui rien qu'a l'idée que je pourrai te perdre me serre la gorge et fait traverser des larmes muets sur mes joues.
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