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je note que le premier souvenir de la plus part d'entre nous, remonte à cet âge de la vie, où selon moi, on se sert pour la première foi de sa mémoire, comme cet outils qu'on a à notre disposition et qui n'attire pas particulièrement notre attention, jusqu'à ce qu'on son utilisation s'impose à nous, et qu'on se demande même comment avons nous fait pour nous en sortir sans lui.
notre "moi" est frais, vierge, et la première image, les premières émotions qui s'impriment dessus le sont pour toujours... plus tard, on vit des choses semblable s peut être, mais aussi marquantes parce que quelque part, on ne les a déjà vécu, on a déjà eu mal, nous avons déjà pleuré.
merci
La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective
Alors mon tout tout premier souvenir, enfin celui qui me semble être le plus lointain, c'était un jour de l'aid en été, en Algérie, je devais avoir environ 3-4 ans, ça se passait dans la chambre des mes parents, il y avait ma mère avec moi et je me rappelle lui avoir demandé que je voulais mettre un tee-shirt blanc avec des dessins de petits filles dessus, y a même une photo comme preuve, puisque j y suis avec mes 4 autres cousins et cousines.
hoo swany c'est trop mignon, j'avais lu un sujet intéressant sur les frayeurs d'enfants, l'émotion va plus vite que la pensée chez les gamins, les pauvres petits enfants sont livrés à leurs amygdales anxiogènes qui déclencher la peur, la colère, le stress etc...les centres nerveux qui doivent calmer toutes ces mauvaises émotions ne sont pas encore bien développés. C'est pour ça que tu t'es senti menacée et t'as couru a pleines jambes.
je note que le premier souvenir de la plus part d'entre nous, remonte à cet âge de la vie, où selon moi, on se sert pour la première foi de sa mémoire, comme cet outils qu'on a à notre disposition et qui n'attire pas particulièrement notre attention, jusqu'à ce qu'on son utilisation s'impose à nous, et qu'on se demande même comment avons nous fait pour nous en sortir sans lui.
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Dernière modification par SwanLake, 10 décembre 2014, 18h40.
Les jours gris, ce n'est pas ça qui manque.. on a vu tellement durant les années 90. L’aéroport, la bombe devant la statut El Emir abdelkader, la bombe à côté de la fac centrale, la bombe à coté du cinéma à la rue d'Isley, la bombe pas loin de la rue Réda houhou.... tuer à bout portant, l'assassina de Boudiaf..
J'étais là pour la plupart des bombes mis à part celle d'Amirouche et de l’aéroport. La menace reçu à la maison... ect.
Les jours gris, ce n'est pas ça qui manque.. on a vu tellement durant les années 90. L’aéroport, la bombe devant la statut El Emir abdelkader, la bombe à côté de la fac centrale, la bombe à coté du cinéma à la rue d'Isley, la bombe pas loin de la rue Réda houhou.... tuer à bout portant, l'assassina de Boudiaf..
J'étais là pour la plupart des bombes mis à part celle d'Amirouche et de l’aéroport. La menace reçu à la maison... ect.
Mais heureusement que l'oubli existe.
ca m'as aussi marqué, surtout l'assassinat en directe de boudiaf, éh dis, tu rappelle de ce journaliste qui avait annoncé la nouvelle officielle de son décès? il était en directe...et il a juste...pleuré.
mais oui!, je me souviens que ma petite soeur avait déboulé dans la maison en pleurant "ils ont tué boudiaf", mon père ne l'a pas cru et a continué de lire son journal, puis, il a subitement allumé la télé, et boum.
heureusement que l'oubli existe, oui... la première chose que disent ceux à qui on annonce une terrible nouvelle est?... est?... "non!" avant de s’effondrer.
on lute contre la réalité terrible, on la refuse, on la repousse, on cherche à s'en aller, mais où!? ... l'esprit lute pour nier, mais il ne réussit pas, il est vite rattrapé par la réalité froide, qui reste là à le regarder se tordre dans tout les sens, se plier, se mettre en boule puis...fatigué...elle s'impose à lui, il l’accepte, et c'est les larmes...l'hystérie.
parfois, il cherchera à la fuir de nouveau, une tentative désespérée, comme ces tigres qui pourchasse une gazelle, puis tombée sous leur griffes impitoyables, elle s'assoit ... eux lui faisant face, la patte sur sa tête, ont croirait presque qu'ils tentent de la rassurer...puis elle déguerpi de nouveau...portée par l’énergie du désespoir, l'amour de la vie...la peur de la mort.
l'esprit, tente de s'évader lui aussi, attendant le moindre relâchement de notre part, celui ci intervient dans notre sommeil...l'esprit tente de nous faire croire qu'ils ne sont pas morts, qu'ils sont toujours là ... on se réveil, on ne sait même pas où nous nous trouvons, mais on croit l'espace d'un instant dérobé à la réalité, qu'ils sont toujours là...avant d'être rappelé par celle-ci...par nous même.
La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective
Pendant l'assasinat de Boudiaf, j'étais à la bibliothèque, je préparais mon bac et on a reçu l'information avec des bombes à gaz à l'intérieur de la bibliothèque... Jour inoubliable.
Émouvant ,prenant ,tiraillement quel récit
on a tous un truc enfoui dans la tête
nos entrailles qui tiraillent .....
Non le brouillard ne s'épaissit pas ...
Ou est le jeune homme jovial que j'ai rencontré ????
Un grand courage ....
Merci de cette réflexion et du partage ....
bonsoir mon ami
pardonne moi, je voulais te répondre mais, je suis mieux dans la nuit
plus habiles avec les mots, plus ...inspiré
le brouillard s'épaissit, c'est mieux que le noir, les deux ne font que te g^ner, mais l'un est plus doux que l'autre ne trouves-tu pas?
tu es comme Lazurée, plein de bonté, je ne vous vois que rarement de mauvais poile (pour ne pas dire jamais), toujours optimiste, une qualité que j'aime beaucoup, mais qui me fait défaut...vous êtes comme mon ami le menteur.
La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective
tu es comme Lazurée, plein de bonté, je ne vous vois que rarement de mauvais poile (pour ne pas dire jamais), toujours optimiste, une qualité que j'aime beaucoup, mais qui me fait défaut...vous êtes comme mon ami le menteur.
Le menteur ....
Non la bonne humeur se cultive et les débats restent dans la convivialité e tle respect de l'autre mais attention parfois ....
Pendant l'assasinat de Boudiaf, j'étais à la bibliothèque, je préparais mon bac et on a reçu l'information avec des bombes à gaz à l'intérieur de la bibliothèque... Jour inoubliable.
c'est était un grand choc pour moi et mes camarad de section électronique .nous étions entrain de passer la troisem EMD (module system asservie)a babaz soudain tout les étudiants sont sortie arrét d'examen....
cétait mon premier zéro dans ma vie... a babaz
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