Souéloum Diagho est né d’une mère Peul et d’un père touareg à Tessalit , au nord du Mali. Son histoire prend racine dans l’histoire de son peuple et dans un exil non désiré. Il raconte dans ses textes et poèmes le désert palpitant comme le cœur de la planète. Tout en parlant avec beauté du silence et de la force de son peuple, il pose un regard sur le monde occidental, les peurs . Tous les sens en éveil, par le parfum du vent dans les dunes, la force des mots d’amour , de tristesse , ce sont des images vivantes , mouvantes et émouvantes qu’il nous livre. Pensées, textes, poésies et proverbes traduits de sa langue maternelle, autant de beauté à aller découvrir auprès de Souéloum , grillot d’ aujourd’hui pour l’espoir et les graines d’amour qu’il sème.
Un de ses poèmes : L’amour possessif ...
Il y a la prison, la rage d’aimer et vouloir posséder, avoir l’autre, mais tout cela n’est pas l’amour.
L’amour, c’est la liberté d’aimer, de donner un amour nourrissant,
pas le poison ou le venin, celui qui coagule le sang et devient glace et acier.
L’amour possessif comme celui de l’enfant qui a peur de se débarrasser de son jouet,
cet amour-là n’est pas pour l’adulte qui a déjà vu une moitié du désert que chacun doit traverser;
Au détour des dunes, on arrive à l’oasis, aux eaux profondes, aux sources qui aboutissent
à l’embouchure de la vie.
L’amour est aussi grand que la mesure qui sépare la terre des cieux, aussi beau que les terrasses du paradis,ce paradis que tant de mystiques ont loué, que tant de poètes ont chanté.
Un petit conseil à tous ceux qui cherchent de l’amour, faites de l’amour pur, faites-le dans votre cour et donnez-le sans avarice.
Il peut changer la vie, il peut combler un cour déjà meurtri, mais faites-le avec une grande liberté comme celle des colombes qui nichent dans un nid à la cime d’un arbre,
Elles dominent la forêt et lèvent caresse le duvet de leurs plumes, et elles lui répondent par des roucoulements tout à fait innocents.
Ca c’est de l’amour ! Chacun doit l’apprendre et le goûter au moins une fois dans sa vie,
c’est celui-là qui conduit vers le temple sacré.
Souéloum Diagho..
J'ai lu , j'aime Alors je partage
MG...
Un de ses poèmes : L’amour possessif ...
Il y a la prison, la rage d’aimer et vouloir posséder, avoir l’autre, mais tout cela n’est pas l’amour.
L’amour, c’est la liberté d’aimer, de donner un amour nourrissant,
pas le poison ou le venin, celui qui coagule le sang et devient glace et acier.
L’amour possessif comme celui de l’enfant qui a peur de se débarrasser de son jouet,
cet amour-là n’est pas pour l’adulte qui a déjà vu une moitié du désert que chacun doit traverser;
Au détour des dunes, on arrive à l’oasis, aux eaux profondes, aux sources qui aboutissent
à l’embouchure de la vie.
L’amour est aussi grand que la mesure qui sépare la terre des cieux, aussi beau que les terrasses du paradis,ce paradis que tant de mystiques ont loué, que tant de poètes ont chanté.
Un petit conseil à tous ceux qui cherchent de l’amour, faites de l’amour pur, faites-le dans votre cour et donnez-le sans avarice.
Il peut changer la vie, il peut combler un cour déjà meurtri, mais faites-le avec une grande liberté comme celle des colombes qui nichent dans un nid à la cime d’un arbre,
Elles dominent la forêt et lèvent caresse le duvet de leurs plumes, et elles lui répondent par des roucoulements tout à fait innocents.
Ca c’est de l’amour ! Chacun doit l’apprendre et le goûter au moins une fois dans sa vie,
c’est celui-là qui conduit vers le temple sacré.
Souéloum Diagho..
J'ai lu , j'aime Alors je partage
MG...
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