Parce que j’en ai assez de consoler, de consolider les liens ridés
Parce que je me fiche de te voir esseulée, petite mine atterrée,
Vermines et mensonges t’ont totalement pompé, petite fille étoilée
Tu étais toute belle, toute sucrée, te voilà en proie à des hyènes affamées
Fuis, idiote ! Elles vont te dévorer ! Se nourrir de ta chair,
Elles vont sur tes restes festoyer, cesse donc cet air patibulaire
Cesse donc d’être leur gibier, cesse donc et applique ton savoir faire
Je ne serais là toujours à te sauver, à guetter, à user de mon flaire
Parce que j’en ai assez de t’aviser, de te rendre encore ta dignité
Piétine sur la mienne, sans humilité, si je daigne à nouveau t’aider
Crache dans mon verre avec vulgarité, fais le comme une passionnée
Mais ne compte plus sur moi et ma fausse bonté : fais comme si je n’étais jamais née.
Parce que je me fiche de te voir esseulée, petite mine atterrée,
Vermines et mensonges t’ont totalement pompé, petite fille étoilée
Tu étais toute belle, toute sucrée, te voilà en proie à des hyènes affamées
Fuis, idiote ! Elles vont te dévorer ! Se nourrir de ta chair,
Elles vont sur tes restes festoyer, cesse donc cet air patibulaire
Cesse donc d’être leur gibier, cesse donc et applique ton savoir faire
Je ne serais là toujours à te sauver, à guetter, à user de mon flaire
Parce que j’en ai assez de t’aviser, de te rendre encore ta dignité
Piétine sur la mienne, sans humilité, si je daigne à nouveau t’aider
Crache dans mon verre avec vulgarité, fais le comme une passionnée
Mais ne compte plus sur moi et ma fausse bonté : fais comme si je n’étais jamais née.
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