Au travers de mes poèmes,
S’entendent les prières damnées
D’un coeur et de ses étoiles peinées,
Qui s’endorment à l’âme...
Pris dans les lointaines
De la nuit silencieuse au pas
Des frimousses ventées d’un là-bas
En solitude, à la même rengaine
Une ombre et toujours son regard,
Qui s’attarde à la main de mes peurs
Et, s’entrevoit dans les larmes du bonheur
Parmi les mots répétés du cauchemard
Qui s’étouffe, au coin des sobriétés,
De l’Homme à la différence regrettée
Dans les songes des nuits passées...
Sur les paroles des petites réalités
Racontant la plume, et son Destin,
Volé dans la volonté de l’éphémère
A l’être du jour, qui se veut encore
Si perdu au dernier de ses matins
Et, dans l’épreuve du coeur écrit
Il s’écoute en des ratures, à la Vie
Porter, les regards en symphonie
Sur son réalisme impossible d’esprit
S’entendent les prières damnées
D’un coeur et de ses étoiles peinées,
Qui s’endorment à l’âme...
Pris dans les lointaines
De la nuit silencieuse au pas
Des frimousses ventées d’un là-bas
En solitude, à la même rengaine
Une ombre et toujours son regard,
Qui s’attarde à la main de mes peurs
Et, s’entrevoit dans les larmes du bonheur
Parmi les mots répétés du cauchemard
Qui s’étouffe, au coin des sobriétés,
De l’Homme à la différence regrettée
Dans les songes des nuits passées...
Sur les paroles des petites réalités
Racontant la plume, et son Destin,
Volé dans la volonté de l’éphémère
A l’être du jour, qui se veut encore
Si perdu au dernier de ses matins
Et, dans l’épreuve du coeur écrit
Il s’écoute en des ratures, à la Vie
Porter, les regards en symphonie
Sur son réalisme impossible d’esprit