Chemin
ils reviennent souvent de rien,
je les pris de leurs communs,
ils regardent ni plus ni moins,
je les dis par le dessein,…
ils lèvent tous un jour la main,
je les vois d’ici au loin,
ils attendent plusieurs demain,
je les crois seulement humains,…
ils découvrent parfois malheurs,
je les porte bonheurs ailleurs,
ils entendent autour ces peines,
je décide la nuit sereine,
ils décrivent sans faire sommeil,
je comprends mille et seule merveille,
ils connaissent pourtant par cœur,
je les laisse entiers rêveurs…mes chemins…
qui est tu, qui es toi,
qui est nu, qui émoi,
le sais tu, comme moi…aller…
respires et admires,
je t’écris de là bas,
tu m’entends sans l’effroi, aller…
sans courir ni le pire,
je t’ai dit mille fois,
tu m’attends pas le choix,
aller…aller…aller…doucement…
ils préfèrent tous les trains,
je les suis dès matin,
ils ne parlent jamais comme un,
je les sais partout vains,…
ils cherchent tous un jour soudain,
je les marche autant lointains,
ils prétendent pourtant destins,
je les mets si droit chacun,…
ils rappellent certaines lueurs,
je les rends chacune douceurs,
ils demandent avec eden,
je précise la vie lointaine,
ils arrivent comme tout éveil,
je défends couleur soleil,
ils étoilent drapeaux frontières,
je les place halo lumière…mon chemin...
qui es-tu, qui es toi,
m’as-tu lu, quelques fois,
m’as-tu vu, une seule fois…aller…
expires et désires,
je t’écris et tu vois,
tu m’entends peu d’endroits, aller…
sans souffrir ni mourir,
je t’ai dit les toits,
tu m’attends autrefois,
aller…aller…aller…maintenant…
"moudil dipouzi mi partaji"
Salam, merci…
ils reviennent souvent de rien,
je les pris de leurs communs,
ils regardent ni plus ni moins,
je les dis par le dessein,…
ils lèvent tous un jour la main,
je les vois d’ici au loin,
ils attendent plusieurs demain,
je les crois seulement humains,…
ils découvrent parfois malheurs,
je les porte bonheurs ailleurs,
ils entendent autour ces peines,
je décide la nuit sereine,
ils décrivent sans faire sommeil,
je comprends mille et seule merveille,
ils connaissent pourtant par cœur,
je les laisse entiers rêveurs…mes chemins…
qui est tu, qui es toi,
qui est nu, qui émoi,
le sais tu, comme moi…aller…
respires et admires,
je t’écris de là bas,
tu m’entends sans l’effroi, aller…
sans courir ni le pire,
je t’ai dit mille fois,
tu m’attends pas le choix,
aller…aller…aller…doucement…
ils préfèrent tous les trains,
je les suis dès matin,
ils ne parlent jamais comme un,
je les sais partout vains,…
ils cherchent tous un jour soudain,
je les marche autant lointains,
ils prétendent pourtant destins,
je les mets si droit chacun,…
ils rappellent certaines lueurs,
je les rends chacune douceurs,
ils demandent avec eden,
je précise la vie lointaine,
ils arrivent comme tout éveil,
je défends couleur soleil,
ils étoilent drapeaux frontières,
je les place halo lumière…mon chemin...
qui es-tu, qui es toi,
m’as-tu lu, quelques fois,
m’as-tu vu, une seule fois…aller…
expires et désires,
je t’écris et tu vois,
tu m’entends peu d’endroits, aller…
sans souffrir ni mourir,
je t’ai dit les toits,
tu m’attends autrefois,
aller…aller…aller…maintenant…
"moudil dipouzi mi partaji"
Salam, merci…
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