Si j’avais deux cœurs je vivrai avec l’un
Et j’aurai laissé le second dans ta passion
Mais j’ai un seul cœur et la passion l’a possédé
Alors ni la vie paisible ne m’est possible et ni la mort se rapproche
Comme un rossignol dans la main d’un enfant qui l’étreint
Et qui goute aux affres de la mort alors que l’enfant joue
Ni l’enfant n’a de raison qui le rende capable de compassion
Et ni l’oiseau n’a de plumes qui lui permettre de s’envoler et de partir
(Ce n'est pas de moi)
Et j’aurai laissé le second dans ta passion
Mais j’ai un seul cœur et la passion l’a possédé
Alors ni la vie paisible ne m’est possible et ni la mort se rapproche
Comme un rossignol dans la main d’un enfant qui l’étreint
Et qui goute aux affres de la mort alors que l’enfant joue
Ni l’enfant n’a de raison qui le rende capable de compassion
Et ni l’oiseau n’a de plumes qui lui permettre de s’envoler et de partir
(Ce n'est pas de moi)
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