Quand les hommes pleurent (suite)
J’ai pleuré en voyant tes larmes
J’avais la gorge serré en lisant ton poème
J’ai voulu te répondre avec des mots
Hélas, je n’avais plus les forces
Quand, j’ai compris qu’il m’a été adressé
Mon cœur, en petits morceaux, s’est brisé
mon amour, je sais que je t’ai fait souffrir
Je m’en veux d’avoir agi ainsi
Je ne voudrai jamais te blesser
Je ne saurai pas me faire racheter
Je m’en veux abominablement
Je sais qu’on pardonne pas facilement
Si je suis né, c’est pour t’aimer
Et sans toi, ma vie un goût amer
Comment puis-je te perdre bêtement
Je t’aime tout simplement
jamais, tu me comprendra
Puisque tu es tout pour moi
Tu es l’air que je respire
Tu es le sol que je frôle
Tu es moi !
J’ai pleuré en voyant tes larmes
J’avais la gorge serré en lisant ton poème
J’ai voulu te répondre avec des mots
Hélas, je n’avais plus les forces
Quand, j’ai compris qu’il m’a été adressé
Mon cœur, en petits morceaux, s’est brisé
mon amour, je sais que je t’ai fait souffrir
Je m’en veux d’avoir agi ainsi
Je ne voudrai jamais te blesser
Je ne saurai pas me faire racheter
Je m’en veux abominablement
Je sais qu’on pardonne pas facilement
Si je suis né, c’est pour t’aimer
Et sans toi, ma vie un goût amer
Comment puis-je te perdre bêtement
Je t’aime tout simplement
jamais, tu me comprendra
Puisque tu es tout pour moi
Tu es l’air que je respire
Tu es le sol que je frôle
Tu es moi !