L'observatoire
Des chemins neuf
Avaient vu le jour
Des odeurs de peinture
De plastics pliés
Une vie rénové
Tout était automatisé
Dirigé de main de fer
Par des prodigieux engins
Annonçant le déclin
Du monde artisanal
Dans cet engrenage moderne
Subsistait le vieux chemin
Partant d'ici, en Irlande
Chevauchant les mers
Traçant un sourire
Quelques braves gens
Le traversent encore
Idéalistes et retraités
Jeunes poètes et révoltés
Tous s'y rejoignaient
Haïssant a jamais
Les château de sable
Mécanique sur l'iode
D'une mer artificielle
Ils s’étaient retrouvé
Parlant du temps,
Ou le pain avait du gout
Ou l'homme glorifiait la femme
On les enfants au biberon
Naturel des poitrines
En particule d'oppression
On deviens un atome oppresseur
Et rien ne change,
Qui ira avertir
Les enfant au bord de l'oued
Que l'eau est contaminé
Que la couleurs des algues
N'a jamais été bicolore
Et que d'un souffle, d'un geste
Le mal infecte le corps
Tout avance a ce rythme
Frénésie des cours boursier
On abrite sans préjugés
Des hommes dont la fortune
Représente le PIB du Soudan
Et l’humanité,
Dans son silence coupable
Se met a critiqué Dieu
Les fanatique, L'Islam
Aux portes des mosquées
Identifiant, dans la foi
Ce qui montre du doigt
Leurs terreur, de la mort
L'indignation face a la pureté
D'un être de sagesse
Je ne sais pas,
Pour être honnête
Ou va le monde
Vers une fin des temps
Fracassante.
Et ou chacun croit avoir
L'issue de secours
Percher sur son orgueil
Ou un quelconque
Observatoire...
Chaarar,
Des chemins neuf
Avaient vu le jour
Des odeurs de peinture
De plastics pliés
Une vie rénové
Tout était automatisé
Dirigé de main de fer
Par des prodigieux engins
Annonçant le déclin
Du monde artisanal
Dans cet engrenage moderne
Subsistait le vieux chemin
Partant d'ici, en Irlande
Chevauchant les mers
Traçant un sourire
Quelques braves gens
Le traversent encore
Idéalistes et retraités
Jeunes poètes et révoltés
Tous s'y rejoignaient
Haïssant a jamais
Les château de sable
Mécanique sur l'iode
D'une mer artificielle
Ils s’étaient retrouvé
Parlant du temps,
Ou le pain avait du gout
Ou l'homme glorifiait la femme
On les enfants au biberon
Naturel des poitrines
En particule d'oppression
On deviens un atome oppresseur
Et rien ne change,
Qui ira avertir
Les enfant au bord de l'oued
Que l'eau est contaminé
Que la couleurs des algues
N'a jamais été bicolore
Et que d'un souffle, d'un geste
Le mal infecte le corps
Tout avance a ce rythme
Frénésie des cours boursier
On abrite sans préjugés
Des hommes dont la fortune
Représente le PIB du Soudan
Et l’humanité,
Dans son silence coupable
Se met a critiqué Dieu
Les fanatique, L'Islam
Aux portes des mosquées
Identifiant, dans la foi
Ce qui montre du doigt
Leurs terreur, de la mort
L'indignation face a la pureté
D'un être de sagesse
Je ne sais pas,
Pour être honnête
Ou va le monde
Vers une fin des temps
Fracassante.
Et ou chacun croit avoir
L'issue de secours
Percher sur son orgueil
Ou un quelconque
Observatoire...
Chaarar,
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