Il fut un temps, bien avant ce temps, où sa mère
Etait là pendant les beaux jours de printemps
Pour effacer ses ennuis et la galère de ses nuits.
C’est une autre, ce n’est pas sa mère, qui
Aujourd’hui s’occupe de ses misères !
Le temps a été figé, piégé par le sort qui
Jouant avec son cœur comme on joue avec
Un ressort. Le soir de ses remords, seul dans
Sa solitude amie qui ne lui a jamais trahie,
Il revoie tous les moments bonheur, d’humeur
A en faire envier toute une terre avec sa mère
Toute fière, c’était bien avant hier, ce n’est
Qu’une toute petite lueur de ces lointaines lumières.
Il soupire du monde et n’aime pas les
Offrandes, immonde celui qui offre pour
Posséder un orphelin, Dieu n’a t-il pas dit
D’être clément avec ces êtres chers du monde !
Si seulement on savait leurs peines quand
Les jours deviennent gris et les nuits incertaines.
Certaines heures pleines de bonheurs, c’est le
Sourire qu’il vient partagé sans rien demander
En échange et quand ça devient noire, il fuit
Le monde pour ne pas le noyer dans sa terrible
Peine attendant un jour meilleur dissipant
Ses malheurs. Malheur, il en a bu et vu de
Toutes les couleurs, arc en ciel de son cœur
Les vivants croient que c’est un être comme
Les autres et Dieu seul sait que c’est un
Orphelin le pauvre.
Samir Le 17/04/2006
Etait là pendant les beaux jours de printemps
Pour effacer ses ennuis et la galère de ses nuits.
C’est une autre, ce n’est pas sa mère, qui
Aujourd’hui s’occupe de ses misères !
Le temps a été figé, piégé par le sort qui
Jouant avec son cœur comme on joue avec
Un ressort. Le soir de ses remords, seul dans
Sa solitude amie qui ne lui a jamais trahie,
Il revoie tous les moments bonheur, d’humeur
A en faire envier toute une terre avec sa mère
Toute fière, c’était bien avant hier, ce n’est
Qu’une toute petite lueur de ces lointaines lumières.
Il soupire du monde et n’aime pas les
Offrandes, immonde celui qui offre pour
Posséder un orphelin, Dieu n’a t-il pas dit
D’être clément avec ces êtres chers du monde !
Si seulement on savait leurs peines quand
Les jours deviennent gris et les nuits incertaines.
Certaines heures pleines de bonheurs, c’est le
Sourire qu’il vient partagé sans rien demander
En échange et quand ça devient noire, il fuit
Le monde pour ne pas le noyer dans sa terrible
Peine attendant un jour meilleur dissipant
Ses malheurs. Malheur, il en a bu et vu de
Toutes les couleurs, arc en ciel de son cœur
Les vivants croient que c’est un être comme
Les autres et Dieu seul sait que c’est un
Orphelin le pauvre.
Samir Le 17/04/2006
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