La ville est dans le gris,
elle a l'âme crépusculaire,
elle ne sourit pas,
elle est déserte.
L'heure n'est pourtant pas si matinale.
Ce n'est qu'un dimanche matin.
Ses habitants sont encore en chemise de nuit.
Le soleil s'est voilé la face.
Le ciel a revêtu son manteau,
aux couleurs de l'automne.
De minuscules gouttes de pluie commencent à tacher l'asphalte.
Les trottoirs n'accueillent que de rares courageux.
Ils ne veulent pas perdre une seule seconde de leur journée.
Où sont passées les voitures ?
Et ces chiens qu'on a oublié de sortir ?
Où sont les couleurs de la ville,
qu'hier encore notre regard captait ?
De rayonnante,
tu es devenue timide.
Il n'empêche que ton charme demeure,
et que c'est dans le silence que j'aime le cueillir.
Du côté du sieur Mac'Donalds je me suis posée,
pour un thé déguster.
J'aime surprendre les premiers passants,
que je vais m'amuser à observer.
Instants généreux,
qu'avec la pointe du stylo,
je déposerais sur une page de cahier.
Balade sur les rives de l'imagination.
Une plongée sans bouée,
dans une mer de souvenirs.
L'ennui n'est pas encore au rendez-vous.
Je vous abandonne,
je vais poser mon masque et mon tuba...
Au plaisir de vous rencontrer,
dans les profondeur de vos pensées.
elle a l'âme crépusculaire,
elle ne sourit pas,
elle est déserte.
L'heure n'est pourtant pas si matinale.
Ce n'est qu'un dimanche matin.
Ses habitants sont encore en chemise de nuit.
Le soleil s'est voilé la face.
Le ciel a revêtu son manteau,
aux couleurs de l'automne.
De minuscules gouttes de pluie commencent à tacher l'asphalte.
Les trottoirs n'accueillent que de rares courageux.
Ils ne veulent pas perdre une seule seconde de leur journée.
Où sont passées les voitures ?
Et ces chiens qu'on a oublié de sortir ?
Où sont les couleurs de la ville,
qu'hier encore notre regard captait ?
De rayonnante,
tu es devenue timide.
Il n'empêche que ton charme demeure,
et que c'est dans le silence que j'aime le cueillir.
Du côté du sieur Mac'Donalds je me suis posée,
pour un thé déguster.
J'aime surprendre les premiers passants,
que je vais m'amuser à observer.
Instants généreux,
qu'avec la pointe du stylo,
je déposerais sur une page de cahier.
Balade sur les rives de l'imagination.
Une plongée sans bouée,
dans une mer de souvenirs.
L'ennui n'est pas encore au rendez-vous.
Je vous abandonne,
je vais poser mon masque et mon tuba...
Au plaisir de vous rencontrer,
dans les profondeur de vos pensées.
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