Un homme est assis !
Dans un coin de nature,
à l'ombre d'un arbre réfléchi.
Une plongée dans l'infini de ses pensées,
et son souvenir s'est accroché.
Autour de lui,
le silence s'est imposé.
Sur les hauteurs de son village,
son souvenir le poursuit.
La luminosité de la journée,
le printemps qui s'est mis à chanter,
l'oiseau qui construit, l'herbe qui frémit...
et c'est elle que son esprit conduit.
le temps,
l'arrêter il aurait voulu.
Pour auprès de lui la garder.
Mais trop vite les journées se sont échappées.
Un homme est assis !
Depuis son rocher,
au delà de l'horizon,
son regard s'est mis à voyager.
Il revoit sa bien aimée,
cet amour qui s'est éloigné,
pour dans son pays retourner.
Un bateau,
sur la Méditerranée s'est échappé,
et un peu de son coeur a ravi.
La nature lui souffle les mots doux,
qu'au creux de son oreille il a cueilli.
Le ciel lui parle de son retour,
la rivière qui coule,
de la fraicheur de ses baisers.
Un homme est assis !
Une poignée de datte auprès de lui.
De la douceur pour son palais.
Et un rappel de tout les instants,
auprès d'elle partagés.
L'abeille s'est envolée.
L'oiseau s'est élevé.
Possèder des ailes,
il aurait voulu.
Pour son amour ramener.
Et la distance,
dans l'oubli jeter.
Mais l'homme qui est assis,
l'injuste distance ne peut combler.
C'est la Méditerranée qui a gagné !
Dans un coin de nature,
à l'ombre d'un arbre réfléchi.
Une plongée dans l'infini de ses pensées,
et son souvenir s'est accroché.
Autour de lui,
le silence s'est imposé.
Sur les hauteurs de son village,
son souvenir le poursuit.
La luminosité de la journée,
le printemps qui s'est mis à chanter,
l'oiseau qui construit, l'herbe qui frémit...
et c'est elle que son esprit conduit.
le temps,
l'arrêter il aurait voulu.
Pour auprès de lui la garder.
Mais trop vite les journées se sont échappées.
Un homme est assis !
Depuis son rocher,
au delà de l'horizon,
son regard s'est mis à voyager.
Il revoit sa bien aimée,
cet amour qui s'est éloigné,
pour dans son pays retourner.
Un bateau,
sur la Méditerranée s'est échappé,
et un peu de son coeur a ravi.
La nature lui souffle les mots doux,
qu'au creux de son oreille il a cueilli.
Le ciel lui parle de son retour,
la rivière qui coule,
de la fraicheur de ses baisers.
Un homme est assis !
Une poignée de datte auprès de lui.
De la douceur pour son palais.
Et un rappel de tout les instants,
auprès d'elle partagés.
L'abeille s'est envolée.
L'oiseau s'est élevé.
Possèder des ailes,
il aurait voulu.
Pour son amour ramener.
Et la distance,
dans l'oubli jeter.
Mais l'homme qui est assis,
l'injuste distance ne peut combler.
C'est la Méditerranée qui a gagné !
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