Un ami m'a envoyé trois jolies phrases, qu'il m'a demandé de corriger. Il s'essaie lui aussi à la poesie...
Mais je préfère vous les faire lire pour que vous en apréciez la saveur :
"Le lever du soleil me rappelle ton sourire,
Le chant des oiseaux,
Ta jolie voix au téléphone,
L'eau fraiche des fontaines,
Tes baisers sur mes lèvres..."
J'ai donc imaginé pour lui que...
si elle pouvait répondre à son poetique souvenir, elle lui dirait :
Si dans la nature son souvenir tu es allé cueillir...
Sache que quelque part,
sur un parterre d'herbe piquetée de jonquilles,
elle rêve du pétillant de tes yeux.
Lorsque gazouillis et trilles s'élèvent,
il lui semble que d'amour tu lui parles.
Et si la brise caresse ses épaules,
elle croit que ton bras,
ainsi c'est posé.
Une coccinelle sur sa main à fait son chemin...
et c'est la tienne qui emprisonne la sienne.
Autour d'elle,
le printemps éclate de bonheur.
Voilà pourquoi,
ton sourire elle y voit.
Le clapotis d'un cours d'eau s'écoule....
elle frissonne sous le baiser volé.
L'outremer des cieux,
lui donne toute la mesure de ta tendresse.
Lorsqu'elle danse et court,
elle chasse les papillons.
Leurs envols saccadés,
lui rappelle que son coeur,
au rythme du tien s'est animé.
Elle ouvre ses bras,
pour les forêts et les montagnes emprisonner.
Mais c'est dans les tiens qu'elle voudrait se cacher.
Allez va !
A présent,
ta pensée à la sienne,
tu peux épouser.
Mais je préfère vous les faire lire pour que vous en apréciez la saveur :
"Le lever du soleil me rappelle ton sourire,
Le chant des oiseaux,
Ta jolie voix au téléphone,
L'eau fraiche des fontaines,
Tes baisers sur mes lèvres..."
J'ai donc imaginé pour lui que...
si elle pouvait répondre à son poetique souvenir, elle lui dirait :
Si dans la nature son souvenir tu es allé cueillir...
Sache que quelque part,
sur un parterre d'herbe piquetée de jonquilles,
elle rêve du pétillant de tes yeux.
Lorsque gazouillis et trilles s'élèvent,
il lui semble que d'amour tu lui parles.
Et si la brise caresse ses épaules,
elle croit que ton bras,
ainsi c'est posé.
Une coccinelle sur sa main à fait son chemin...
et c'est la tienne qui emprisonne la sienne.
Autour d'elle,
le printemps éclate de bonheur.
Voilà pourquoi,
ton sourire elle y voit.
Le clapotis d'un cours d'eau s'écoule....
elle frissonne sous le baiser volé.
L'outremer des cieux,
lui donne toute la mesure de ta tendresse.
Lorsqu'elle danse et court,
elle chasse les papillons.
Leurs envols saccadés,
lui rappelle que son coeur,
au rythme du tien s'est animé.
Elle ouvre ses bras,
pour les forêts et les montagnes emprisonner.
Mais c'est dans les tiens qu'elle voudrait se cacher.
Allez va !
A présent,
ta pensée à la sienne,
tu peux épouser.
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