Les silences enterrés
La conscience jadis volubile
Est enrouée, d'une glaire
Un sentiment aux odeurs de bile
Où rien est lumineux, rien est clair
Leurs pas foulaient le sol,
A la cadence d'un métronome
Le malheur perd son accent créole
Il est ainsi devenu autonome
Bien qu'humain, les mains dans la peau
De la chair dans les poches,
Évacuant, de vagues tintements,
Dans mon sang baigne des ossements
J'ai pris la mesure des peines aléatoires
A chaque versets que tu lisait
J'ai observé ton déclin je t'ai vu déchoir
Il a noircit, le blason que du dorait...
Chaarar,
La conscience jadis volubile
Est enrouée, d'une glaire
Un sentiment aux odeurs de bile
Où rien est lumineux, rien est clair
Leurs pas foulaient le sol,
A la cadence d'un métronome
Le malheur perd son accent créole
Il est ainsi devenu autonome
Bien qu'humain, les mains dans la peau
De la chair dans les poches,
Évacuant, de vagues tintements,
Dans mon sang baigne des ossements
J'ai pris la mesure des peines aléatoires
A chaque versets que tu lisait
J'ai observé ton déclin je t'ai vu déchoir
Il a noircit, le blason que du dorait...
Chaarar,
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