Sur une marche d'un palais
j'ai écris une larme si vite effacée
hormis le vent des sables
nul ne l'a remarqué
une larme si vite tombée
que seul l'écho de ta voix l'a caressé
l'arme du bonheur
chagrin de bonne humeur
pas a pas se sont succédé sur ces marches là
C'est pas laid
de vouloir n'aimer que la beauté
qu'inspire ton sourire tant aimé
crépuscule minuscule d'un soir d'été
Je pourrai sans cesse interroger
le silence que la mort va emporter
mes mains se tendre désespérées
vers ce sourire parfois déchiré
par cette peur incontrôlée
qui vient sans cesse t'interpeller
minuscule crépuscule de l'être aimé
Chavirée, bateau qui tangue
un soir d'été
un cœur qui cogne aveuglé
écho de tes pas
mon âme bouleversée
devant tant de fragilité
ainsi dévoilée.
Sur une marche d'un pas laid
la maladie vient s'essuyer
Bien à son aise elle veut s'installer
c'est sans compter ton sourire si plein de bonté
qui la désarçonne elle est offusqué
Où sont les larmes, les visages défaits?
Je pourrai sans cesse m'interroger
perdre mon temps à tempêter
Je préfère encore te contempler
et y perdre mon regard
au risque de voir mon cœur chavirer
minuscule crépuscule au cœur de l'être aimé
Sur une marche d'un palais
une larme un soir y est tombée
Tendre dédicace pour ce bonheur
Juste une fleur pour un instant de bonheur.
morjane
30/09/10
j'ai écris une larme si vite effacée
hormis le vent des sables
nul ne l'a remarqué
une larme si vite tombée
que seul l'écho de ta voix l'a caressé
l'arme du bonheur
chagrin de bonne humeur
pas a pas se sont succédé sur ces marches là
C'est pas laid
de vouloir n'aimer que la beauté
qu'inspire ton sourire tant aimé
crépuscule minuscule d'un soir d'été
Je pourrai sans cesse interroger
le silence que la mort va emporter
mes mains se tendre désespérées
vers ce sourire parfois déchiré
par cette peur incontrôlée
qui vient sans cesse t'interpeller
minuscule crépuscule de l'être aimé
Chavirée, bateau qui tangue
un soir d'été
un cœur qui cogne aveuglé
écho de tes pas
mon âme bouleversée
devant tant de fragilité
ainsi dévoilée.
Sur une marche d'un pas laid
la maladie vient s'essuyer
Bien à son aise elle veut s'installer
c'est sans compter ton sourire si plein de bonté
qui la désarçonne elle est offusqué
Où sont les larmes, les visages défaits?
Je pourrai sans cesse m'interroger
perdre mon temps à tempêter
Je préfère encore te contempler
et y perdre mon regard
au risque de voir mon cœur chavirer
minuscule crépuscule au cœur de l'être aimé
Sur une marche d'un palais
une larme un soir y est tombée
Tendre dédicace pour ce bonheur
Juste une fleur pour un instant de bonheur.
morjane
30/09/10
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