Espoirs pétrifiés
Pourfendeur d'humanité
Carriole bariolé, d'éternité
Purée de synapses immonde
Chiens cadenassés par l'âme
Chemin a l'envers, parcourus
Illégal marche vers l'avant,
Peurs jaunies par la pisse
A la cime de mes éclats de rire
J'ai déchiffré mes craintes,
Hiéroglyphes maléfiques
Spirituelle et omnipotente
Souvent la femme, s'obstine
A me raconter mes lâchetés
Sur l'autel des Dieux,
La gueule dans la gaze fine
Elle se foutait librement
Des arbres sur ma peau
Des collines bâties pour ces yeux
Ma cracheuse de feu...
Mon idylle aux mains bossue
Bourbeux, et mal rasé
Le minautore l'a embrochée
J'ai donné sa carotide aux enfants
Ils se soulent de sa bile acre
De son venin dont je souffre
Comment vivre, même la terre
De l'Irlande a la maison cabossée
Le bois grave son nom,
Et la pluie me persuade
Que le ciel est inconsolable
Parapluie de suffisance, sur foule
Calcaire, imperméable fluo
Spectacle bruyant, l'homme exulte
De toute sa salive, toute sa sueur
Et moi, moi je me réfugie
Dans l'abrutissement de ce monde
Dans l'assourdissement d'une prière
Dans le prêche des hommes pieux
En lévitation sur mon cœur
Je me pend a une corde
Qui part de son ombre...
Chaarar,
Pourfendeur d'humanité
Carriole bariolé, d'éternité
Purée de synapses immonde
Chiens cadenassés par l'âme
Chemin a l'envers, parcourus
Illégal marche vers l'avant,
Peurs jaunies par la pisse
A la cime de mes éclats de rire
J'ai déchiffré mes craintes,
Hiéroglyphes maléfiques
Spirituelle et omnipotente
Souvent la femme, s'obstine
A me raconter mes lâchetés
Sur l'autel des Dieux,
La gueule dans la gaze fine
Elle se foutait librement
Des arbres sur ma peau
Des collines bâties pour ces yeux
Ma cracheuse de feu...
Mon idylle aux mains bossue
Bourbeux, et mal rasé
Le minautore l'a embrochée
J'ai donné sa carotide aux enfants
Ils se soulent de sa bile acre
De son venin dont je souffre
Comment vivre, même la terre
De l'Irlande a la maison cabossée
Le bois grave son nom,
Et la pluie me persuade
Que le ciel est inconsolable
Parapluie de suffisance, sur foule
Calcaire, imperméable fluo
Spectacle bruyant, l'homme exulte
De toute sa salive, toute sa sueur
Et moi, moi je me réfugie
Dans l'abrutissement de ce monde
Dans l'assourdissement d'une prière
Dans le prêche des hommes pieux
En lévitation sur mon cœur
Je me pend a une corde
Qui part de son ombre...
Chaarar,
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