C'est une lecon comme une autre, sans auditoire
Deux personnages en sont les bienheureux acteurs,
C;est une lecon semblable a une histoire,
Celle que raconteraient nos aieux,
A la lueur folatre d'une chandelle qui brasille,
C;'est la lecon que chante l'univers
Et avec lui ,l'ecole de la vie en vert!!
Pourtant, entre nous deux, c'est un message silencieux,
Ce dialogue muet d'un fils aimant a sa mere.
En ce matin, tu as surpris mes yeux brouilles de larmes,
En cette minute ou l'univers s'ecrasait de son poids,
Ou la vulnerabilite des emotions ebranle meme les plus forts.
D'etonnement, tu ecarquillas tes beaux yeux d'acajou,
J;ai pu encore revoir au berceau tes yeux d'aigleton.
Puis tes levres se crisperent d'une frenesie troublante,
Face aux saccades de cette froide douleur qui me secoua,
J;ai vite compris que tu avais mal comme moi,
Mal d' assister a la faiblesse d'une mere jadis forte,
Mes yeux se perdirent ensuite dans la fievre de l'espoir et du courage de ton regard,
C'est alors que je vis cette vie , insolente , reprendre ses droits.
Tu m;invitas alors, dans le malheur a etre fort comme toi,
Et ce;st ainsi que je sus que ma tache un jour serait finalement achevee
Si, dans tes veines, circulera toujours le sang farouche de l'orgueil et de la tenacite....
SUZANNA Pour mon fils ..le 21 Aout 2010
Deux personnages en sont les bienheureux acteurs,
C;est une lecon semblable a une histoire,
Celle que raconteraient nos aieux,
A la lueur folatre d'une chandelle qui brasille,
C;'est la lecon que chante l'univers
Et avec lui ,l'ecole de la vie en vert!!
Pourtant, entre nous deux, c'est un message silencieux,
Ce dialogue muet d'un fils aimant a sa mere.
En ce matin, tu as surpris mes yeux brouilles de larmes,
En cette minute ou l'univers s'ecrasait de son poids,
Ou la vulnerabilite des emotions ebranle meme les plus forts.
D'etonnement, tu ecarquillas tes beaux yeux d'acajou,
J;ai pu encore revoir au berceau tes yeux d'aigleton.
Puis tes levres se crisperent d'une frenesie troublante,
Face aux saccades de cette froide douleur qui me secoua,
J;ai vite compris que tu avais mal comme moi,
Mal d' assister a la faiblesse d'une mere jadis forte,
Mes yeux se perdirent ensuite dans la fievre de l'espoir et du courage de ton regard,
C'est alors que je vis cette vie , insolente , reprendre ses droits.
Tu m;invitas alors, dans le malheur a etre fort comme toi,
Et ce;st ainsi que je sus que ma tache un jour serait finalement achevee
Si, dans tes veines, circulera toujours le sang farouche de l'orgueil et de la tenacite....
SUZANNA Pour mon fils ..le 21 Aout 2010
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