C’est une tâche énorme
Que de vouloir marcher
Quand on sait…
Que les jeux sont déjà faits !
J’ai connu des voyages et merveilles
Sur des sentiers connus et inconnus
Je savourais toutes les tiges comme une abeille
Mais je fais halte par les temps indus
Dans cette place isolée des individus
Qui est l’écriture
L’espace le plus sûr à mon cœur
Loin des ambivalences qui l’écœure
Ces écrits ne sont que des pages
Sur la route de notre espérance
Certains restent comme des images
D’un temps révolu sans cesse
D’autres disparaissent
Comme des étoiles filantes
Sans existence
Ces écrits pansent mes blessures
Du temps et ses éraflures
Me donne un remède sans prescription
Une force sans bavure
C’est ma joie dans la soustraction
Quand les marches se distinguent
Quand les destins se séparent
Pour moins de culpabilité
On essaye d’oublier
On se dit c’est peut être… mérité !
Trop de légèreté
Car on chérit la facilité
Les raccourcis qui mènent finalement
Vers… La stupidité !
On essaye d’avancer ignorant
Les interpellations de la vie
On se dit : c’est la réalité
Les temps changent comme les saisons
On reviendra d’un autre visage
Plus gai avec plus de prestance
Pour vaincre la méfiance
Mais le cœur a ses raisons
Et la raison ignore le cœur
Alors on redescend vers les fonds
Dans le noir de la paresse
Sans la lumière de la sagesse
Pour récupérer les restes de notre… raison
Comme si chacun se parle à lui-même
Sans témoin qui pose problème
Je veux gagner « seul » la partie
Sinon « ensemble » on perdra !
Comment les hommes peuvent être
Autre chose que l’homme ?
Qui pense et qui sait qui pense l’être
Quand la nature et les animaux
Nous apprennent assez de choses
Sur notre… être
Comment comprendre les régressions
De sa civilisation et sa condition
Sinon que l’homme n’est pas l’homme
Mais une chose sans définition
Ou peut être une « chose » sans l’homme
Ce sont les hommes et rien d’autre
Et l’homme ne change pas sans… l’autre
p
Que de vouloir marcher
Quand on sait…
Que les jeux sont déjà faits !
J’ai connu des voyages et merveilles
Sur des sentiers connus et inconnus
Je savourais toutes les tiges comme une abeille
Mais je fais halte par les temps indus
Dans cette place isolée des individus
Qui est l’écriture
L’espace le plus sûr à mon cœur
Loin des ambivalences qui l’écœure
Ces écrits ne sont que des pages
Sur la route de notre espérance
Certains restent comme des images
D’un temps révolu sans cesse
D’autres disparaissent
Comme des étoiles filantes
Sans existence
Ces écrits pansent mes blessures
Du temps et ses éraflures
Me donne un remède sans prescription
Une force sans bavure
C’est ma joie dans la soustraction
Quand les marches se distinguent
Quand les destins se séparent
Pour moins de culpabilité
On essaye d’oublier
On se dit c’est peut être… mérité !
Trop de légèreté
Car on chérit la facilité
Les raccourcis qui mènent finalement
Vers… La stupidité !
On essaye d’avancer ignorant
Les interpellations de la vie
On se dit : c’est la réalité
Les temps changent comme les saisons
On reviendra d’un autre visage
Plus gai avec plus de prestance
Pour vaincre la méfiance
Mais le cœur a ses raisons
Et la raison ignore le cœur
Alors on redescend vers les fonds
Dans le noir de la paresse
Sans la lumière de la sagesse
Pour récupérer les restes de notre… raison
Comme si chacun se parle à lui-même
Sans témoin qui pose problème
Je veux gagner « seul » la partie
Sinon « ensemble » on perdra !
Comment les hommes peuvent être
Autre chose que l’homme ?
Qui pense et qui sait qui pense l’être
Quand la nature et les animaux
Nous apprennent assez de choses
Sur notre… être
Comment comprendre les régressions
De sa civilisation et sa condition
Sinon que l’homme n’est pas l’homme
Mais une chose sans définition
Ou peut être une « chose » sans l’homme
Ce sont les hommes et rien d’autre
Et l’homme ne change pas sans… l’autre
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