Ma saison préférée
Le vent se cognait sur la porte
La lumière filait dans nos cheveux
L'eau sortait des yeux, sans larmes
Partout le pourpre régnait en silence
Despote fanatique, du bonheur
Les vallées s'élevaient, encore plus
En hauteurs exaltés, poussant
Jusqu'au sommet des nuages
Parfumant les chênes frétillant
Sans bagages, sans lendemain
Le froid de l'hiver dans les gants
L'orange de l'automne s'étalait
Comme un voile de pudeur
Sur mes calendriers trop usé
A t'attendre ma saison préférée
Elle s'allongeait sur les fleurs
Sans rien brisé des symphonies
Ni brusquer les filins de silences
Empruntant au coton sa souplesse
Elle absorbait l'angoisse et la peur
Je ne connais pas tes parents
Mais il ne sont ni l'orage, ni le feu
Mais des flammes en fontaines
Et des rivières incandescentes
Versatile tu coule dans mes veines
Délies, délies, dénoue les lianes
Découd les canevas compliqué
Ouvre ces visages métalliques
Fait renaitre l'encens que l'on enterre
Au départ des êtres chers,
Reviens douce et fragile,
Dans les translations du vent
Garde cette singulière beauté,
Ces draps blanc, ce bleu parfait
Cette mer que tu suggère aussi
Je t'attend joli solstice, horloge magique
Fait battre me cœur, une dernière fois
Délivre l'ombre et la chair, capture moi
Tes traces ne partent jamais,
Elles t'attendent, pour tout t'avouer...
Chaarar,
Le vent se cognait sur la porte
La lumière filait dans nos cheveux
L'eau sortait des yeux, sans larmes
Partout le pourpre régnait en silence
Despote fanatique, du bonheur
Les vallées s'élevaient, encore plus
En hauteurs exaltés, poussant
Jusqu'au sommet des nuages
Parfumant les chênes frétillant
Sans bagages, sans lendemain
Le froid de l'hiver dans les gants
L'orange de l'automne s'étalait
Comme un voile de pudeur
Sur mes calendriers trop usé
A t'attendre ma saison préférée
Elle s'allongeait sur les fleurs
Sans rien brisé des symphonies
Ni brusquer les filins de silences
Empruntant au coton sa souplesse
Elle absorbait l'angoisse et la peur
Je ne connais pas tes parents
Mais il ne sont ni l'orage, ni le feu
Mais des flammes en fontaines
Et des rivières incandescentes
Versatile tu coule dans mes veines
Délies, délies, dénoue les lianes
Découd les canevas compliqué
Ouvre ces visages métalliques
Fait renaitre l'encens que l'on enterre
Au départ des êtres chers,
Reviens douce et fragile,
Dans les translations du vent
Garde cette singulière beauté,
Ces draps blanc, ce bleu parfait
Cette mer que tu suggère aussi
Je t'attend joli solstice, horloge magique
Fait battre me cœur, une dernière fois
Délivre l'ombre et la chair, capture moi
Tes traces ne partent jamais,
Elles t'attendent, pour tout t'avouer...
Chaarar,
Commentaire