Je m’étais juré de te comprendre,
Me disant que ta nature était telle,
Et que c’est la lumière qui était fade,
Pour que tes couleurs s’épanouissent.
Je me suis dis, que tu es le cycle,
Dont l'homme ne cesse d’appréhender,
Alors que dans mon renoncement je ne redoute point,
Ta faucheuse aux lames aiguisées.
Mais je ne veux être ton souffre-douleur,
Alors sois douce et compatissante,
Car je n’ai entendu que du bien de toi,
Par les murmures de mes ancêtres lointains.
Tu joues de mon âme, de ma patience et de mon corps,
Tandis que je ne rêve que de quiétude, et la encore.
Si ce n’est trop te demander,
Laisse moi dormir le temps d’une nuit,
Avant que je ne glisse,
Dans tes bras froid et sombres.
Je me bats pour t’aimer,
Mais je ne te hais qu’encore plus.
Car les miens qui me sourient,
Me ravivent le cœur que tu rêves de prendre.
Tu joues de moi,
Mais je te bats avec mon sourire,
Que tu n’arracheras point,
Même en me brûlant le souffle,
Car l’amour que je donne,
Est plus fort que ta haine.
Alors oui je suis ton homme,
Viens, je n’ai plus peur de la nuit perpétuelle.
J’ai prépare mes pièces,
Alors avise le passeur,
Car j’ai hâte de rejoindre les esprits du O-Bon.
Me disant que ta nature était telle,
Et que c’est la lumière qui était fade,
Pour que tes couleurs s’épanouissent.
Je me suis dis, que tu es le cycle,
Dont l'homme ne cesse d’appréhender,
Alors que dans mon renoncement je ne redoute point,
Ta faucheuse aux lames aiguisées.
Mais je ne veux être ton souffre-douleur,
Alors sois douce et compatissante,
Car je n’ai entendu que du bien de toi,
Par les murmures de mes ancêtres lointains.
Tu joues de mon âme, de ma patience et de mon corps,
Tandis que je ne rêve que de quiétude, et la encore.
Si ce n’est trop te demander,
Laisse moi dormir le temps d’une nuit,
Avant que je ne glisse,
Dans tes bras froid et sombres.
Je me bats pour t’aimer,
Mais je ne te hais qu’encore plus.
Car les miens qui me sourient,
Me ravivent le cœur que tu rêves de prendre.
Tu joues de moi,
Mais je te bats avec mon sourire,
Que tu n’arracheras point,
Même en me brûlant le souffle,
Car l’amour que je donne,
Est plus fort que ta haine.
Alors oui je suis ton homme,
Viens, je n’ai plus peur de la nuit perpétuelle.
J’ai prépare mes pièces,
Alors avise le passeur,
Car j’ai hâte de rejoindre les esprits du O-Bon.
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